L'ancien président de la République, redevenu un justiciable ordinaire après son départ de l'Elysée en mai 2007, a été mis en examen le 21 novembre de la même année par la juge Xavière Simeoni pour détournements de fonds publics dans cette affaire d'emplois présumés de complaisance payés par le cabinet du maire de Paris entre 1983 et 1998.
Une première pour un ancien président de la République. Cinq anciens directeurs de cabinet de Jacques Chirac, maire de la capitale de 1977 à 1995, et de son successeur Jean Tiberi, sont également mis en examen pour le même chef: les anciens ministres Robert Pandraud et Michel Roussin ainsi que Daniel Naftalski, Rémy Chardon et Bernard Bled (ce dernier pour Jean Tibéri).
Parmi les bénéficiaires présumés de ces emplois, des membres du RPR notamment, figure un ancien préfet, soupçonné d'avoir bénéficié d'un chauffeur payé par le cabinet du maire de Paris. Selon des sources proches du dossier, il s'agit du seul contrat signé de la main de Jacques Chirac. Dans cette affaire, la municipalité parisienne s'est constituée partie civile sous Bertrand Delanoë.
«L'information n'a pas permis d'établir que le recours à ce type d'emplois reposait sur une volonté manifeste de contourner les règles de l'administration», indique le parquet de Paris dans son réquisitoire transmis à la juge, selon la presse qui explique aussi que le parquet de Paris a estimé que la prescription s'appliquait pour les faits antérieurs à 1992.
«Ces emplois étaient nécessaires»
L'ancien président a été entendu à plusieurs reprises par la juge . Il a dit assu... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
Source: Le Figaro via Yahoo News
Une première pour un ancien président de la République. Cinq anciens directeurs de cabinet de Jacques Chirac, maire de la capitale de 1977 à 1995, et de son successeur Jean Tiberi, sont également mis en examen pour le même chef: les anciens ministres Robert Pandraud et Michel Roussin ainsi que Daniel Naftalski, Rémy Chardon et Bernard Bled (ce dernier pour Jean Tibéri).
Parmi les bénéficiaires présumés de ces emplois, des membres du RPR notamment, figure un ancien préfet, soupçonné d'avoir bénéficié d'un chauffeur payé par le cabinet du maire de Paris. Selon des sources proches du dossier, il s'agit du seul contrat signé de la main de Jacques Chirac. Dans cette affaire, la municipalité parisienne s'est constituée partie civile sous Bertrand Delanoë.
«L'information n'a pas permis d'établir que le recours à ce type d'emplois reposait sur une volonté manifeste de contourner les règles de l'administration», indique le parquet de Paris dans son réquisitoire transmis à la juge, selon la presse qui explique aussi que le parquet de Paris a estimé que la prescription s'appliquait pour les faits antérieurs à 1992.
«Ces emplois étaient nécessaires»
L'ancien président a été entendu à plusieurs reprises par la juge . Il a dit assu... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
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