Le gouvernement et l’armée ivoirienne ont annoncé ce mercredi 13 janvier dans l’après-midi, la mort de trois Casques bleus ivoiriens de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma) dans une attaque terroriste lors d’une mission de reconnaissance.
Aux environs de 12h30 GMT, un détachement de Casques bleus ivoiriens de Minusma a été l’objet d’une attaque de groupe armé terroriste à 95 km environ au sud de Tombouctou. Celle-ci a consisté en l’emploi d’un engin explosif improvisé (IED), au contact duquel un des véhicules blindés a explosé, et de tirs directs", a déclaré le chef d'état-major général ivoirien Lassina Doumbia dans un communiqué. L'information a également été confirmée par un responsable de la Minusma sous le couvert de l'anonymat.
« Au cours d'une opération de sécurité, une compagnie de la Minusma a heurté des engins explosifs improvisés (IED) avant d'être la cible de tirs par des hommes armés non identifiés », informe le communiqué de la mission onusienne.
L'attaque est survenue au nord de Bambara-Maoudé, sur l'axe entre Douentza et Tombouctou, dans une région réputée comme l'un des foyers de la violence qui ensanglante le Sahel.
D’après le rapport préliminaire à la suite à cette attaque, trois Casques bleus sont décédés et six autres ont été blessés.
Selon des statistiques de l'ONU, la mission onusienne Minusma, établie en 2013, a perdu plus de 230 de ses membres, dont plus de 145 dans des actes hostiles. C'est la mission la plus meurtrière pour les Casques bleus dans le monde.
Sur les 145 membres que la Minusma a perdus dans les hostilités, 59 ont été tués par des engins explosifs, a indiqué son porte-parole Olivier Salgado. Nombre de ses pertes ont été causées par des mines improvisées frappant les véhicules ou les immobilisant dans des guets-apens.
Aux environs de 12h30 GMT, un détachement de Casques bleus ivoiriens de Minusma a été l’objet d’une attaque de groupe armé terroriste à 95 km environ au sud de Tombouctou. Celle-ci a consisté en l’emploi d’un engin explosif improvisé (IED), au contact duquel un des véhicules blindés a explosé, et de tirs directs", a déclaré le chef d'état-major général ivoirien Lassina Doumbia dans un communiqué. L'information a également été confirmée par un responsable de la Minusma sous le couvert de l'anonymat.
« Au cours d'une opération de sécurité, une compagnie de la Minusma a heurté des engins explosifs improvisés (IED) avant d'être la cible de tirs par des hommes armés non identifiés », informe le communiqué de la mission onusienne.
L'attaque est survenue au nord de Bambara-Maoudé, sur l'axe entre Douentza et Tombouctou, dans une région réputée comme l'un des foyers de la violence qui ensanglante le Sahel.
D’après le rapport préliminaire à la suite à cette attaque, trois Casques bleus sont décédés et six autres ont été blessés.
Selon des statistiques de l'ONU, la mission onusienne Minusma, établie en 2013, a perdu plus de 230 de ses membres, dont plus de 145 dans des actes hostiles. C'est la mission la plus meurtrière pour les Casques bleus dans le monde.
Sur les 145 membres que la Minusma a perdus dans les hostilités, 59 ont été tués par des engins explosifs, a indiqué son porte-parole Olivier Salgado. Nombre de ses pertes ont été causées par des mines improvisées frappant les véhicules ou les immobilisant dans des guets-apens.
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