| Le CDC (Center for disease control) est une agence de santé américaine. Il s’agit du centre des maladies infectieuses. Son influence sur les décisions prises par les gouvernements occidentaux durant l’épidémie de covid 19 a été considérable(1).
Ses mises en garde et ses recommandations ont souvent été prises en concertation avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) sans que l’on sache précisément qui dirige qui(2).
En tout cas, ces deux organismes fonctionnent ensemble et lorsque leurs voix s’élèvent en commun, le pire est souvent à craindre pour les libertés individuelles(3).
Or, le CDC vient de sortir une information improbable, confirmée par l’OMS(4,5)… Le BA.2.86 entre en scène !
Le 23 août dernier, le CDC a estimé qu’un nouveau variant du covid 19 - appelé BA.2.86 - pourrait être particulièrement actif chez les personnes ayant été vaccinées contre le covid 19 mais aussi chez les personnes qui ont été infectées(4,5).
Le CDC a affirmé qu’il était encore trop tôt pour savoir si ce BA.2.86 risquait de causer des formes de covid 19 plus sévères que les précédentes.
En revanche, ce mutant rend la vaccination à peu près obsolète. Un variant très éloigné du virus d’origine
Ce nouveau virus a suscité de nombreux commentaires de la part de scientifiques et des médias(6,7,8).
Ce qui frappe le plus les experts, c’est qu’il est très différent du SARS CoV 2 de départ, qui avait été identifié à Wuhan en Chine fin 2019(8).
Il aurait muté plus de 30 fois(8).
Et cela confirme ce que le Pr Luc Montagnier avait dit quasiment dès le départ et qui avait provoqué un tollé à l’époque : il s’agit d’un virus de laboratoire qui sera “tamponné” par la nature(9,10,11).
Cela veut dire, qu’avec le temps, la charge pathogène du virus diminue(11). Une nouveauté dont les scientifiques ne savent pas grand-chose
Le BA.2.86 a été identifié au Royaume-Uni, en Afrique du Sud, en Israël, au Danemark, aux États-Unis et en Suisse(4,8).
Pour autant, le CDC précise dans sa publication que pour l’instant, il est trop tôt pour dire si ce variant est dangereux ou non pour la santé(4).
On ne sait pas s’il peut provoquer des formes sévères de covid 19(4).
L’agence américaine confirme que le nombre d’échantillons disponibles pour faire des analyses est encore très limité(4).
Elle précise que l’on ne sait pas à quelle vitesse le BA.2.86 se répand, ni s’il agit comme les autres variants.
Pour l’instant, le BA.2.86 semble n’avoir que deux caractéristiques spécifiques :
1/ Il est nouveau.
2/ Les anciennes vaccinations n’ont, semble-t-il, aucun effet sur lui.
L’OMS a confirmé que les informations sur le sujet étaient limitées.
Et un biologiste de l’Université d’Oxford, Aris Katzourakis, a même posté un “tweet” affirmant que toute évaluation de la dangerosité de ce BA.2.86 n’était qu’un jeu de devinette. Est-ce une fausse alerte ?
Bref, les scientifiques ne savent pas grand-chose.
Il est probable que cette nouveauté ne soit qu’un chapitre de plus d’une comédie épidémique qui n’a que trop duré, comme si l’on voulait maintenir les populations occidentales dans une peur permanente.
Cela permet d’annoncer de temps en temps que l’on pourrait à nouveau avoir recours aux masques, histoire de maintenir un peu la pression sur tout le monde(13) !
Mais tout en évoquant ce nouveau variant, le CDC minimise d’emblée l’importance du BA.2.86 en précisant que l’augmentation des hospitalisations, qui a lieu actuellement aux États-Unis, n’a rien avoir avec ce mutant.
L’agence ajoute que la population dispose normalement des anticorps nécessaires pour face à ce nouveau variant.
Enfin, l’agence précise que les antiviraux classiques devraient fonctionner avec ce virus. | 
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Donald Trump voit ses options en Ukraine
