Le pays ancré laborieusement "officiellement" dans une crise sociale majeure à l’avènement en septembre 2002, d’un mouvement de rébellion armé, est plongé dans une crise institutionnelle depuis la fin constitutionnelle en octobre 2005, des pouvoirs publics du président Gbagbo.
Ce dernier au nom de la continuité de l’Etat, soutenue de la divine onction de l’Onu, garantie militaire sur le terrain de c’est état de fait, s’est vu conforté dans ses fonctions présidentielles, dernier président élu en exercice de son état et renouvelé depuis lors annuellement par disposition d’adoubement onusien.
Toutefois, du souci de ne voir perdurer l’exception institutionnelle de fait, en norme, il fut requis du président Gbagbo, qu’il entreprenne au plus vite des mesures de sorties de crise, dont le point culminant s’analyse en la réalisation de l’élection présidentielle.
Cette élection présidentielle entrevue comme la clé de voûte du rétablissement de légalité constitutionnelle et point d’orgue d’une accalmie pérenne du champ social, maintes fois reportée sous prétextes et raisons plus au moins fallacieuses, aurait fait l’objet d’une analyse du président Sarkozy de France, analyse jugée acerbe, insultante et déplacé, du coté de la capitale économique Abidjan.
Le président Sarkozy lors d’un déjeuner à New York, vendredi dernier, avec le secrétaire général de l`ONU, Ban Ki-moon, aurait déclaré :
Le Président Laurent Gbagbo, ce Monsieur n`est pas digne de confiance ; estimant qu’il s'emploierait à reporter une nouvelle fois la date de l’élection présidentielle dans son pays.
Poursuivant semble t-il en énonçant qu’il ne doit sa survie qu’à la présence des troupes onusiennes sur le sol ivoirien :
C’est fort de la présence des Casques bleus qu’il fait tout cela; sinon j’aurais depuis longtemps demandé à mes gars de faire le nettoyage nécessaire, et semble t-il d’ajouter, que même son Directeur de Cabinet est venu à Paris pour nous confirmer que la date du 29 novembre 2009 ne sera pas respectée.
Ces propos prêté au président Sarkozy aurait déclenché l’ire du coté d’Abidjan, conduisant entre autre, le troisième personnage de l’Etat, le président du conseil économique ivoirien, Laurent Dona Fologo, dans une intervention publique à souhaiter faire, comprendre à Nicolas Sarkozy, que le temps où depuis Paris on enlevait les présidents africains comme on le voulait est révolu.
Ces échanges d’amabilité ont au moins le mérite d’exposer, tant en interne qu’à l’international la prise ne otage du peuple ivoirien.
Ironiquement, il y a quelques années, un sénateur américain disait à ses interlocuteurs ivoiriens:
« Pourquoi est-ce que quand on dit Côte-D’Ivoire à l`ONU, c’est la France qui se lève ? Vous trouverez la solution à la crise ivoirienne lorsque vous aurez répondu à cette question ».
Visiblement la Côte-D'Ivoire à du chemin devant elle, à moins qu'il s'agisse d'une sortie calculée destinée à mettre face à leurs responsabilités, engagements, sous pression, les institutionnels ivoiriens, à défaut, d'une mise en garde...
Source: Dabio
Ce dernier au nom de la continuité de l’Etat, soutenue de la divine onction de l’Onu, garantie militaire sur le terrain de c’est état de fait, s’est vu conforté dans ses fonctions présidentielles, dernier président élu en exercice de son état et renouvelé depuis lors annuellement par disposition d’adoubement onusien.
Toutefois, du souci de ne voir perdurer l’exception institutionnelle de fait, en norme, il fut requis du président Gbagbo, qu’il entreprenne au plus vite des mesures de sorties de crise, dont le point culminant s’analyse en la réalisation de l’élection présidentielle.
Cette élection présidentielle entrevue comme la clé de voûte du rétablissement de légalité constitutionnelle et point d’orgue d’une accalmie pérenne du champ social, maintes fois reportée sous prétextes et raisons plus au moins fallacieuses, aurait fait l’objet d’une analyse du président Sarkozy de France, analyse jugée acerbe, insultante et déplacé, du coté de la capitale économique Abidjan.
Le président Sarkozy lors d’un déjeuner à New York, vendredi dernier, avec le secrétaire général de l`ONU, Ban Ki-moon, aurait déclaré :
Le Président Laurent Gbagbo, ce Monsieur n`est pas digne de confiance ; estimant qu’il s'emploierait à reporter une nouvelle fois la date de l’élection présidentielle dans son pays.
Poursuivant semble t-il en énonçant qu’il ne doit sa survie qu’à la présence des troupes onusiennes sur le sol ivoirien :
C’est fort de la présence des Casques bleus qu’il fait tout cela; sinon j’aurais depuis longtemps demandé à mes gars de faire le nettoyage nécessaire, et semble t-il d’ajouter, que même son Directeur de Cabinet est venu à Paris pour nous confirmer que la date du 29 novembre 2009 ne sera pas respectée.
Ces propos prêté au président Sarkozy aurait déclenché l’ire du coté d’Abidjan, conduisant entre autre, le troisième personnage de l’Etat, le président du conseil économique ivoirien, Laurent Dona Fologo, dans une intervention publique à souhaiter faire, comprendre à Nicolas Sarkozy, que le temps où depuis Paris on enlevait les présidents africains comme on le voulait est révolu.
Ces échanges d’amabilité ont au moins le mérite d’exposer, tant en interne qu’à l’international la prise ne otage du peuple ivoirien.
Ironiquement, il y a quelques années, un sénateur américain disait à ses interlocuteurs ivoiriens:
« Pourquoi est-ce que quand on dit Côte-D’Ivoire à l`ONU, c’est la France qui se lève ? Vous trouverez la solution à la crise ivoirienne lorsque vous aurez répondu à cette question ».
Visiblement la Côte-D'Ivoire à du chemin devant elle, à moins qu'il s'agisse d'une sortie calculée destinée à mettre face à leurs responsabilités, engagements, sous pression, les institutionnels ivoiriens, à défaut, d'une mise en garde...
Source: Dabio
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