Baidoa, en Somalie, fête les Ethiopiens victorieux d'Al Chabaab
Après trois ans passés sous la coupe des miliciens islamistes d'Al Chabaab, les habitants de la ville somalienne de Baidoa se disent heureux et soulagés d'avoir vu arriver le mois dernier les soldats éthiopiens, malgré l'animosité qu'ils nourrissaient autrefois à leur égard. "Les rebelles d'Al Chabaab nous ont colonisés pendant trois ans et douze jours. Beaucoup d'entre nous ont été tués, beaucoup d'autres ont été déplacés et beaucoup ont émigré. Nous sommes donc des survivants", a déclaré à des journalistes Mohammed Ma'alim Barhi, un chef de clan. "Par trois fois auparavant, les soldats éthiopiens étaient venus ici. Aujourd'hui, on les apprécie et on les soutient." Les soldats éthiopiens et somaliens ont reconnu qu'ils avaient été bien accueillis par les habitants de l'ancien bastion islamiste, qui leur ont montré où se cachaient les derniers rebelles Al Chabaab encore présents dans la ville.(fr.Reuters.com) C'est toujours une bonne nouvelle de voir ne serait-ce qu'une région libérée du fascisme religieux. Même si ce n'est peut-être pas définitif
Côte d'Ivoire: Laurent Gbagbo reprend des forces à La Haye
L'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, incarcéré à la prison de la Cour pénale internationale (CPI) depuis le 29 novembre dernier, est satisfait des conditions de vie dans le centre pénitentiaire de Scheveningen à La Haye selon la direction intérimaire de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI), rapporte Abidjan.net. «Durant les sept mois d'incarcération à Korhogo, au nord de la Côte d'Ivoire, il était interdit au président Gbagbo de recevoir des visites, rendant impossible au FPI de communiquer avec lui. Les conditions carcérales plus humaines à La Haye, ont permis à la direction du FPI d'organiser cette visite...», a déclaré dans un communiqué de presse le président intérimaire du parti de Gbagbo, Sylvain Miaka Ouréto. L'ex-président se dit convenablement nourri et hébergé dans une cellule individuelle. Il bénéficie de soins médicaux et peut chaque jour se promener dans la cour de la prison ou aller à la salle de sports, rapporte Jeune Afrique.(slate.fr) Ce n'est pas trop mal pour une prison spécialisée dans l'incarcération des dictateurs.
Syrie: la tentation de l'intervention militaire
Face au refus des Etats-Unis d'intervenir en Syrie, la Tunisie et le Qatar réclament une opération de maintien de la paix et l'Arabie Saoudite souhaite armer l'opposition. "Une intervention étrangère en Syrie n'empêcherait pas une guerre civile, estime Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine. Elle précipiterait même les choses." L'échec de la conférence de Tunis, le 24 février, semble pourtant hâter cette éventualité. Tandis que la Tunisie et le Qatar réclament le déploiement d'une force de maintien de la paix unissant des soldats des Nations unies et des forces arabes, l'Arabie saoudite, quant à elle, souhaite armer directement l'opposition au régime de Damas, y voyant même "une excellente idée".(l'express.fr) Armer les opposants ne mènerait qu'à une guerre civile après la chute du dirigeant actuel, une intervention de l'Occident ne ferait qu'accélérer les choses voire même les envenimer.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Après trois ans passés sous la coupe des miliciens islamistes d'Al Chabaab, les habitants de la ville somalienne de Baidoa se disent heureux et soulagés d'avoir vu arriver le mois dernier les soldats éthiopiens, malgré l'animosité qu'ils nourrissaient autrefois à leur égard. "Les rebelles d'Al Chabaab nous ont colonisés pendant trois ans et douze jours. Beaucoup d'entre nous ont été tués, beaucoup d'autres ont été déplacés et beaucoup ont émigré. Nous sommes donc des survivants", a déclaré à des journalistes Mohammed Ma'alim Barhi, un chef de clan. "Par trois fois auparavant, les soldats éthiopiens étaient venus ici. Aujourd'hui, on les apprécie et on les soutient." Les soldats éthiopiens et somaliens ont reconnu qu'ils avaient été bien accueillis par les habitants de l'ancien bastion islamiste, qui leur ont montré où se cachaient les derniers rebelles Al Chabaab encore présents dans la ville.(fr.Reuters.com) C'est toujours une bonne nouvelle de voir ne serait-ce qu'une région libérée du fascisme religieux. Même si ce n'est peut-être pas définitif
Côte d'Ivoire: Laurent Gbagbo reprend des forces à La Haye
L'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, incarcéré à la prison de la Cour pénale internationale (CPI) depuis le 29 novembre dernier, est satisfait des conditions de vie dans le centre pénitentiaire de Scheveningen à La Haye selon la direction intérimaire de son parti, le Front populaire ivoirien (FPI), rapporte Abidjan.net. «Durant les sept mois d'incarcération à Korhogo, au nord de la Côte d'Ivoire, il était interdit au président Gbagbo de recevoir des visites, rendant impossible au FPI de communiquer avec lui. Les conditions carcérales plus humaines à La Haye, ont permis à la direction du FPI d'organiser cette visite...», a déclaré dans un communiqué de presse le président intérimaire du parti de Gbagbo, Sylvain Miaka Ouréto. L'ex-président se dit convenablement nourri et hébergé dans une cellule individuelle. Il bénéficie de soins médicaux et peut chaque jour se promener dans la cour de la prison ou aller à la salle de sports, rapporte Jeune Afrique.(slate.fr) Ce n'est pas trop mal pour une prison spécialisée dans l'incarcération des dictateurs.
Syrie: la tentation de l'intervention militaire
Face au refus des Etats-Unis d'intervenir en Syrie, la Tunisie et le Qatar réclament une opération de maintien de la paix et l'Arabie Saoudite souhaite armer l'opposition. "Une intervention étrangère en Syrie n'empêcherait pas une guerre civile, estime Hillary Clinton, secrétaire d'Etat américaine. Elle précipiterait même les choses." L'échec de la conférence de Tunis, le 24 février, semble pourtant hâter cette éventualité. Tandis que la Tunisie et le Qatar réclament le déploiement d'une force de maintien de la paix unissant des soldats des Nations unies et des forces arabes, l'Arabie saoudite, quant à elle, souhaite armer directement l'opposition au régime de Damas, y voyant même "une excellente idée".(l'express.fr) Armer les opposants ne mènerait qu'à une guerre civile après la chute du dirigeant actuel, une intervention de l'Occident ne ferait qu'accélérer les choses voire même les envenimer.
Source: Yahoo actualités
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