Dans cet ouvrage introspectif, celui qui a remporté 8 tournois du Grand Chelem explique en outre qu'il a toujours secrètement détesté joué au tennis. Il aurait pris pour la première fois la drogue crystal en 1997, quand sa forme baissait et son mariage avec l'actrice Brooke Shields battait de l'aile.
Il décrit son sentiment au moment de sa prise de drogue, proposée par son assistant Slim:"J'ai réalisé que j'avais franchi le Rubicond. Ca a été un grand moment de regret, suivi d'une immense tristesse. Mais la vague d'euphorie [due à la drogue] a vite balayé toutes les pensées négatives dans ma tête. Je ne me suis jamais senti si vivant et plein d'énergie, plein d'espoir."
Si les résultats positifs de son test pratiqué peu après avaient été rendus publics, les conséquences auraient été catastrophiques pour Agassi. Quand il reçoit un coup de fil de l'ATP lui expliquant les conséquences possibles de ses résultats (3 mois de suspension pour avoir pris des drogues «à usage récréatif»), le sportif est effondré.
«Mon nom, ma carrière, tout était menacé. Tout ce que j'ai accompli, ce pour quoi j'ai travaillé, serait réduit à néant. Quelques jours après je me suis assis sur une chaise pour écrire une lettre à l'ATP. Elle était remplie de mensonges entrelacés de quelques parcelles de vérité», raconte André Agassi. "J'ai dit que Slim, que j'ai congédié depuis, était un consommateur de drogue avéré et avait l'habitude de couper ses sodas avec des métamphétamines, ce qui était vrai. Puis je suis passé au vrai mensonge de la lettre. J'ai dit que j'avais bu par inadvertance dans le soda trafiqué de Slim, ingérant sans le savoir des substance... Lire la suite sur Slate.fr
Source: Slate via Yahoo News
Il décrit son sentiment au moment de sa prise de drogue, proposée par son assistant Slim:"J'ai réalisé que j'avais franchi le Rubicond. Ca a été un grand moment de regret, suivi d'une immense tristesse. Mais la vague d'euphorie [due à la drogue] a vite balayé toutes les pensées négatives dans ma tête. Je ne me suis jamais senti si vivant et plein d'énergie, plein d'espoir."
Si les résultats positifs de son test pratiqué peu après avaient été rendus publics, les conséquences auraient été catastrophiques pour Agassi. Quand il reçoit un coup de fil de l'ATP lui expliquant les conséquences possibles de ses résultats (3 mois de suspension pour avoir pris des drogues «à usage récréatif»), le sportif est effondré.
«Mon nom, ma carrière, tout était menacé. Tout ce que j'ai accompli, ce pour quoi j'ai travaillé, serait réduit à néant. Quelques jours après je me suis assis sur une chaise pour écrire une lettre à l'ATP. Elle était remplie de mensonges entrelacés de quelques parcelles de vérité», raconte André Agassi. "J'ai dit que Slim, que j'ai congédié depuis, était un consommateur de drogue avéré et avait l'habitude de couper ses sodas avec des métamphétamines, ce qui était vrai. Puis je suis passé au vrai mensonge de la lettre. J'ai dit que j'avais bu par inadvertance dans le soda trafiqué de Slim, ingérant sans le savoir des substance... Lire la suite sur Slate.fr
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