Le Soudan, de même que Cuba, l'Iran et la Syrie, sont désignés par le département d'Etat comme "Etats parrainant le terrorisme" et ils sont soumis à des sanctions.
Le mandat du général en retraite est d'encourager la pérennité d'un accord de paix de 2005 qui a mis fin à deux décennies de guerre civile entre le nord et le sud-Soudan et de contribuer à rétablir la stabilité du Darfour après des années d'affrontements entre forces gouvernementales et rebelles.
L'accord de paix nord-sud a établi une période d'intérim, avec la constitution d'un gouvernement de coalition entre le nord musulman et le sud chrétien et un partage des ressources pétrolière. Elle prendra fin dans 18 mois avec un référendum dans le sud sur une possible sécession.
Le général Gration a estimé que les sanctions allaient à l'encontre des efforts déployés pour ramener la paix au Soudan.
"Nous portons en fait atteinte aux éléments de développement dont nous avons besoin pour aider le sud à devenir un Etat économique viable, s'ils décident de faire sécession", a dit Gration à des membres du Congrès en notant que Washington ne pouvait introduire de matériel lourd pour construire des routes et des chemins de fer.
Il a déclaré que rien, dans les renseignements recueillis, ne justifiait la présence du Soudan sur la liste des pays parrainant le terrorisme. "C'est une décision politique", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
Le mandat du général en retraite est d'encourager la pérennité d'un accord de paix de 2005 qui a mis fin à deux décennies de guerre civile entre le nord et le sud-Soudan et de contribuer à rétablir la stabilité du Darfour après des années d'affrontements entre forces gouvernementales et rebelles.
L'accord de paix nord-sud a établi une période d'intérim, avec la constitution d'un gouvernement de coalition entre le nord musulman et le sud chrétien et un partage des ressources pétrolière. Elle prendra fin dans 18 mois avec un référendum dans le sud sur une possible sécession.
Le général Gration a estimé que les sanctions allaient à l'encontre des efforts déployés pour ramener la paix au Soudan.
"Nous portons en fait atteinte aux éléments de développement dont nous avons besoin pour aider le sud à devenir un Etat économique viable, s'ils décident de faire sécession", a dit Gration à des membres du Congrès en notant que Washington ne pouvait introduire de matériel lourd pour construire des routes et des chemins de fer.
Il a déclaré que rien, dans les renseignements recueillis, ne justifiait la présence du Soudan sur la liste des pays parrainant le terrorisme. "C'est une décision politique", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
A lire également:
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises