Le ministre du Budget a précisé que la première liste dont il a fait état n'émanait pas forcément dans son intégralité de banques suisses.
« Ce sont trois banques, je ne dis pas qu'elles sont suisses ou pas suisses. Ce sont trois sources différentes », a-t-il dit, sans préciser si ces banques pouvaient être installées en France.
« Je ne veux pas pointer du doigt particulièrement la Suisse, il se trouve que c'est l'un des principaux pays d'accueil », a souligné le ministre.
Des responsables bancaires helvétiques se sont déclarés surpris dans la presse par les déclarations d'Éric Woerth, s'interrogeant sur l'existence d'une telle liste.
Niant à nouveau avoir acheté ces listes, Éric Woerth a précisé qu'il allait à présent demander aux banques françaises de lui fournir la liste de leurs clients ayant effectué des transactions financières avec des pays de la liste grise.
Il s'agit de pays qui se sont engagés à signer des conventions sur la transparence bancaire mais qui ne l'ont pas encore fait.
« La liste de 3 000 n'est qu'un début, au fond », a dit Éric Woerth. « Je vais demander aux banques de nous donner les échanges financiers qui sont réalisés par les particuliers dans les pays étrangers qui sont sur la liste grise. »
Éric Woerth avait fait savoir samedi que trois établissements bancaires suisses avaient fourni les noms de ces Français qui y détiennent des comptes pour un montant de 3 milliards d'euros.
Il leur a donné jusqu'à la fin de l'année pour se mettre en règle, sous peine de subir un contrôle fiscal, voire des poursuites pénales.
Martine Aubry, premier secrétaire du Parti socialiste, y a vu une forme d'amnistie.
« Pourquoi leur donner la possibilité jusqu'à la fin de l'année de régulariser, un peu comme ça en douce ? », a-t-elle demandé hier.
Source: Reuters via Yahoo News
« Ce sont trois banques, je ne dis pas qu'elles sont suisses ou pas suisses. Ce sont trois sources différentes », a-t-il dit, sans préciser si ces banques pouvaient être installées en France.
« Je ne veux pas pointer du doigt particulièrement la Suisse, il se trouve que c'est l'un des principaux pays d'accueil », a souligné le ministre.
Des responsables bancaires helvétiques se sont déclarés surpris dans la presse par les déclarations d'Éric Woerth, s'interrogeant sur l'existence d'une telle liste.
Niant à nouveau avoir acheté ces listes, Éric Woerth a précisé qu'il allait à présent demander aux banques françaises de lui fournir la liste de leurs clients ayant effectué des transactions financières avec des pays de la liste grise.
Il s'agit de pays qui se sont engagés à signer des conventions sur la transparence bancaire mais qui ne l'ont pas encore fait.
« La liste de 3 000 n'est qu'un début, au fond », a dit Éric Woerth. « Je vais demander aux banques de nous donner les échanges financiers qui sont réalisés par les particuliers dans les pays étrangers qui sont sur la liste grise. »
Éric Woerth avait fait savoir samedi que trois établissements bancaires suisses avaient fourni les noms de ces Français qui y détiennent des comptes pour un montant de 3 milliards d'euros.
Il leur a donné jusqu'à la fin de l'année pour se mettre en règle, sous peine de subir un contrôle fiscal, voire des poursuites pénales.
Martine Aubry, premier secrétaire du Parti socialiste, y a vu une forme d'amnistie.
« Pourquoi leur donner la possibilité jusqu'à la fin de l'année de régulariser, un peu comme ça en douce ? », a-t-elle demandé hier.
Source: Reuters via Yahoo News
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