Cette décision traduit la volonté du gouvernement égyptien de s'attaquer à ce mouvement qui, avec des milliers de sympathisants et un cinquième des sièges au Parlement, constitue le plus large mouvement d'opposition dans le pays. Le gouvernement a intensifié les mesures répressives à l'encontre de ce mouvement interdit depuis 1954 à l'approche des élections législatives.
"C'est un message destiné à faire peur et à diffamer le groupe en l'accusant de blanchiment d'argent", a déclaré l'avocat des cinq inculpés, Abdel Moneim Abdel Maqsoud, précisant que cela ne changerait en rien la décision du mouvement islamiste de se présenter aux prochaines élections législatives.
Source: Ap via Yahoo
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