M. Mandela "a fait de la réconciliation le thème central de son mandat (1994-1999). Nous ne dévierons pas de cette tâche de construction de la nation" Arc-en-ciel rêvée par le héros de la lutte anti-apartheid, a déclaré M. Zuma lors de son discours d'investiture.
"Merci Madiba de nous avoir montré la voie", a continué le 4e président de l'Afrique du Sud post-apartheid, invoquant le nom de clan de son illustre prédécesseur.
"L'heure du renouveau est venue", a affirmé M. Zuma. "Nous devons forger un partenariat pour la reconstruction, le développement et le progrès" qui réunisse "tous les Sud-Africains, noirs et blancs."
Son parti, le Congrès national africain (ANC) au pouvoir depuis 1994, a recueilli 65,9% des suffrages le 22 avril après une campagne axée sur la lutte contre une pauvreté toujours massive et l'amélioration de services publics déficients.
"Les rêves et les espoirs de tous les citoyens de notre pays doivent devenir réalité", a continué le populaire tribun zoulou. "Ni la complaisance ni le cynisme, ni les excuses n'ont lieu d'être."
Vingt-et-un coups de canon ont retenti immédiatement après l'investiture de M. Zuma, devant les bâtiments de l'Union qui abritent le siège du gouvernement. L'aviation sud-africaine a ensuite fait une démonstration au-dessus des 5000 invités.
Parmi eux figuraient une trentaine de dirigeants, essentiellement africains, dont plusieurs personnalités controversées, comme le président zimbabwéen Robert Mugabe et le roi du Swaziland Mswati III, dernier monarque absolu d'Afrique.
"Nous ne voulons pas la conformité. Nous voulons un partenariat vibrant, dynamique qui s'enrichisse du débat démocratique", a-t-il déclaré, promettant de protéger la liberté des médias et les institutions de la démocratie... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
Source: L'Express via Yahooo News
"Merci Madiba de nous avoir montré la voie", a continué le 4e président de l'Afrique du Sud post-apartheid, invoquant le nom de clan de son illustre prédécesseur.
"L'heure du renouveau est venue", a affirmé M. Zuma. "Nous devons forger un partenariat pour la reconstruction, le développement et le progrès" qui réunisse "tous les Sud-Africains, noirs et blancs."
Son parti, le Congrès national africain (ANC) au pouvoir depuis 1994, a recueilli 65,9% des suffrages le 22 avril après une campagne axée sur la lutte contre une pauvreté toujours massive et l'amélioration de services publics déficients.
"Les rêves et les espoirs de tous les citoyens de notre pays doivent devenir réalité", a continué le populaire tribun zoulou. "Ni la complaisance ni le cynisme, ni les excuses n'ont lieu d'être."
Vingt-et-un coups de canon ont retenti immédiatement après l'investiture de M. Zuma, devant les bâtiments de l'Union qui abritent le siège du gouvernement. L'aviation sud-africaine a ensuite fait une démonstration au-dessus des 5000 invités.
Parmi eux figuraient une trentaine de dirigeants, essentiellement africains, dont plusieurs personnalités controversées, comme le président zimbabwéen Robert Mugabe et le roi du Swaziland Mswati III, dernier monarque absolu d'Afrique.
"Nous ne voulons pas la conformité. Nous voulons un partenariat vibrant, dynamique qui s'enrichisse du débat démocratique", a-t-il déclaré, promettant de protéger la liberté des médias et les institutions de la démocratie... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
Source: L'Express via Yahooo News
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