L'objectif doit être double, ajoute-t-il, insistant sur la nécessité de réduire la faim dans le monde et d'accroître dans le même temps la production agricole globale.
"L'idée de renforcer la sécurité alimentaire pour tous dans le monde en développement, notamment en Afrique, est très bonne", indique-t-il.
Joint par téléphone à Genève, il a précisé qu'un fonds d'investissement agricole, susceptible d'être géré par la Banque mondiale, sera discuté et amélioré lors du sommet du G8, qui s'ouvre ce mercredi en Italie, mais que la décision définitive pourrait n'être prise que fin septembre, lors du prochain sommet du G20 à Pittsburgh, aux Etats-Unis.
Ce projet de fonds, indique-t-il, a été évoqué avec les Etats-Unis, le Canada, l'Italie et le Japon (qui forment le groupe des huit pays les plus industrialisés avec l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et la Russie).
Selon les versions en circulation de la déclaration finale du sommet de L'Aquila, les chefs d'Etat et de gouvernement du G8 annonceront la mobilisation de plusieurs milliards de dollars sur trois ans en faveur de l'investissement dans l'agriculture.
Les Etats-Unis pourraient débloquer 3 à 4 milliards de dollars. Au total, les engagements s'élèveraient à 15 milliards.
L'an passé, une étude de l'International Food Policy Research Institute a chiffré à 14,3 milliards de dollars les investissements requis chaque année dans le secteur agricole des pays en développement.
L'an passé, la flambée des prix des aliments et les "émeutes de la faim" ont mis en lumière le sous-investissement chronique qui caractérise les agricultures des pays en développement, où les trois quarts des populations pauvres vivent dans des zones rurales.
Alors que la production agricole mondiale suffirait à mettre fin à la faim dans le monde, plus d'un milliard d'habitants de la planète souffrent de malnutrition ou de sous-nutrition, trop pauvres pour acheter des aliments ou privés d'accès.
Source: Reuters via Yahoo News
"L'idée de renforcer la sécurité alimentaire pour tous dans le monde en développement, notamment en Afrique, est très bonne", indique-t-il.
Joint par téléphone à Genève, il a précisé qu'un fonds d'investissement agricole, susceptible d'être géré par la Banque mondiale, sera discuté et amélioré lors du sommet du G8, qui s'ouvre ce mercredi en Italie, mais que la décision définitive pourrait n'être prise que fin septembre, lors du prochain sommet du G20 à Pittsburgh, aux Etats-Unis.
Ce projet de fonds, indique-t-il, a été évoqué avec les Etats-Unis, le Canada, l'Italie et le Japon (qui forment le groupe des huit pays les plus industrialisés avec l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et la Russie).
Selon les versions en circulation de la déclaration finale du sommet de L'Aquila, les chefs d'Etat et de gouvernement du G8 annonceront la mobilisation de plusieurs milliards de dollars sur trois ans en faveur de l'investissement dans l'agriculture.
Les Etats-Unis pourraient débloquer 3 à 4 milliards de dollars. Au total, les engagements s'élèveraient à 15 milliards.
L'an passé, une étude de l'International Food Policy Research Institute a chiffré à 14,3 milliards de dollars les investissements requis chaque année dans le secteur agricole des pays en développement.
L'an passé, la flambée des prix des aliments et les "émeutes de la faim" ont mis en lumière le sous-investissement chronique qui caractérise les agricultures des pays en développement, où les trois quarts des populations pauvres vivent dans des zones rurales.
Alors que la production agricole mondiale suffirait à mettre fin à la faim dans le monde, plus d'un milliard d'habitants de la planète souffrent de malnutrition ou de sous-nutrition, trop pauvres pour acheter des aliments ou privés d'accès.
Source: Reuters via Yahoo News
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