Un peu plus tard dans la journée, les quatre candidats à la présidentielle hondurienne du 29 novembre prochain ont rencontré Manuel Zelaya. Tous ont exhorté les deux parties en conflit à s'entendre.
Le Conseil de sécurité des Nations unies doit examiner ce vendredi une lettre du Brésil, qui réclame une réunion d'urgence sur le cas du Honduras. La communauté internationale, dont les présidents américain Barack Obama et brésilien Luiz Inácio Lula da Dilva, appelle depuis le début au retour de Manuel Zelaya à son poste de président, élu jusqu'à janvier 2010.
Depuis son retour au Honduras, lundi dernier, Manuel Zelaya, toujours retranché dans l'ambassade du Brésil avec sa famille et 70 partisans, demande à rencontrer Roberto Michelletti lui-même. Il envisage aussi de retrouver cette semaine des représentants du patronat et des syndicats.
Jeudi, la vie a commencé à reprendre son cours, après quatre journées particulièrement violentes: des écoles, les frontières et l'aéroport ont rouverts, les taxis, les bus et les vendeurs ambulants circulaient de nouveau. Même si 3.000 manifestants s'étaient positionnés autour de l'ambassade du Brésil dans la capitale, en brandissant des pancartes "Nous voulons des élections, pas d'intervention".
Source: Associated Presse via Yahoo News
Le Conseil de sécurité des Nations unies doit examiner ce vendredi une lettre du Brésil, qui réclame une réunion d'urgence sur le cas du Honduras. La communauté internationale, dont les présidents américain Barack Obama et brésilien Luiz Inácio Lula da Dilva, appelle depuis le début au retour de Manuel Zelaya à son poste de président, élu jusqu'à janvier 2010.
Depuis son retour au Honduras, lundi dernier, Manuel Zelaya, toujours retranché dans l'ambassade du Brésil avec sa famille et 70 partisans, demande à rencontrer Roberto Michelletti lui-même. Il envisage aussi de retrouver cette semaine des représentants du patronat et des syndicats.
Jeudi, la vie a commencé à reprendre son cours, après quatre journées particulièrement violentes: des écoles, les frontières et l'aéroport ont rouverts, les taxis, les bus et les vendeurs ambulants circulaient de nouveau. Même si 3.000 manifestants s'étaient positionnés autour de l'ambassade du Brésil dans la capitale, en brandissant des pancartes "Nous voulons des élections, pas d'intervention".
Source: Associated Presse via Yahoo News
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