Du conflit à la proclamation de l'autonomie
Aidés par l'Iran, les rebelles houthistes qui contrôlent essentiellement le nord du pays en particulier le capital Sanaa s'opposent aux combattants sudistes soutenus par les Émirats arabes unis, qui combattent loyalement aux côtés du gouvernement, appuyé par l'Arabie Saoudite.
Mais une grande division vient s'installer entre le gouvernement en exil à Aden et leur allié, le mouvement séparatistes des sudistes connu sous le nom conseil de transition du sud (STC). Ne trouvant aucun accord pour remédier cette division, le gouvernement est accusé de ne pas avoir respecté sa redevance et d'avoir << conspiré >> contre le sud.
Le mouvement, de ce fait, proclame l'autonomie de la région dans la nuit du samedi au dimanche à 00h00. Il indique qu' un comité d'autonomie commencera ses travaux sur la base d'une liste de taches assignées par ma présidence du conseil.
Lors de sa déclaration le dimanche, le STC se plaint du prolongement de la dégradation des services publics et accuse le gouvernement d'un abus de pouvoir comme << d'une arme pour amener les sudistes à s'agenouiller >>.
L'indignation du gouvernement
Le gouvernement n'étant pas d'accord avec cette proclamation, il affirme que les séparatistes qui luttent depuis plusieurs années pour l'émancipation dans le sud seront auteurs du résultat << catastrophique et dangereux >> de cette démarche.
Pour lutter contre la pandémie du coronavirus, un cessez-le-feu a été mis en place à l'égard des Houthis par l'armée sous la direction de Ryad pendant la division entre les deux ex-alliés. Les Houthis, n'étant pas d'accord, refusent l'offre et les conflits continuent. Le pays devient, selon l'ONU, la victime de la pire crise humanitaire au monde.
Après possession d'Aden par les séparatistes, un accord est signé, le 5 novembre, par le gouvernement du Yémen et le STC à Ryad. D'après des sources bien informées, le gouvernement prévoyait l'intégration des membres du STC en échange de son retour à Aden. Mais la non exécution du contrat, particulièrement la création d'un nouveau gouvernement, conduit à un rejet. Les habitants d'Aden déploient alors des forces massives du STC dans la ville suite à la dénonciation de l'accord.
Des postes de surveillance sont instaurés, des véhicules de l'armée circulent dans la ville surmontés de drapeaux du mouvement. Pourtant d'autres villes ont déclaré n'avoir pas perçu le danger de l'autonomie en raison de la complexité du paysage sudiste.
Mohammad al- Hadhrami, ministre des affaires étrangères du Yémen, affirme que l'initiative du STC était << une extension à la rébellion .
Aidés par l'Iran, les rebelles houthistes qui contrôlent essentiellement le nord du pays en particulier le capital Sanaa s'opposent aux combattants sudistes soutenus par les Émirats arabes unis, qui combattent loyalement aux côtés du gouvernement, appuyé par l'Arabie Saoudite.
Mais une grande division vient s'installer entre le gouvernement en exil à Aden et leur allié, le mouvement séparatistes des sudistes connu sous le nom conseil de transition du sud (STC). Ne trouvant aucun accord pour remédier cette division, le gouvernement est accusé de ne pas avoir respecté sa redevance et d'avoir << conspiré >> contre le sud.
Le mouvement, de ce fait, proclame l'autonomie de la région dans la nuit du samedi au dimanche à 00h00. Il indique qu' un comité d'autonomie commencera ses travaux sur la base d'une liste de taches assignées par ma présidence du conseil.
Lors de sa déclaration le dimanche, le STC se plaint du prolongement de la dégradation des services publics et accuse le gouvernement d'un abus de pouvoir comme << d'une arme pour amener les sudistes à s'agenouiller >>.
L'indignation du gouvernement
Le gouvernement n'étant pas d'accord avec cette proclamation, il affirme que les séparatistes qui luttent depuis plusieurs années pour l'émancipation dans le sud seront auteurs du résultat << catastrophique et dangereux >> de cette démarche.
Pour lutter contre la pandémie du coronavirus, un cessez-le-feu a été mis en place à l'égard des Houthis par l'armée sous la direction de Ryad pendant la division entre les deux ex-alliés. Les Houthis, n'étant pas d'accord, refusent l'offre et les conflits continuent. Le pays devient, selon l'ONU, la victime de la pire crise humanitaire au monde.
Après possession d'Aden par les séparatistes, un accord est signé, le 5 novembre, par le gouvernement du Yémen et le STC à Ryad. D'après des sources bien informées, le gouvernement prévoyait l'intégration des membres du STC en échange de son retour à Aden. Mais la non exécution du contrat, particulièrement la création d'un nouveau gouvernement, conduit à un rejet. Les habitants d'Aden déploient alors des forces massives du STC dans la ville suite à la dénonciation de l'accord.
Des postes de surveillance sont instaurés, des véhicules de l'armée circulent dans la ville surmontés de drapeaux du mouvement. Pourtant d'autres villes ont déclaré n'avoir pas perçu le danger de l'autonomie en raison de la complexité du paysage sudiste.
Mohammad al- Hadhrami, ministre des affaires étrangères du Yémen, affirme que l'initiative du STC était << une extension à la rébellion .
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