Cette décision, qui va très certainement apaiser la Russie, farouchement opposée au projet, est fondée sur des informations selon lesquelles le "programme balistique de longue portée de l'Iran n'a pas progressé aussi vite que prévu", précise le quotidien, selon lequel la révision du projet ordonnée par Barack Obama devrait être achevée la semaine prochaine.
L'administration Bush, qui disait vouloir mettre les Etats-Unis et les capitales européennes à l'abri de la menace nucléaire iranienne, assurait que le bouclier antimissile ne visait en rien la Russie, mais Moscou y voyait une atteinte à l'équilibre des forces hérité de la guerre froide.
L'équipe de Barack Obama, va se prononcer en faveur de dispositifs antimissiles moins controversés, mais se réservera probablement la possibilité de relancer le projet "si l'Iran accomplit des progrès en matière de missiles à longue portée".
L'actuel locataire de la Maison blanche a souhaité remettre à plat les relations avec la Russie, mises à mal par le conflit d'août 2008 en Géorgie et l'élargissement à l'Est de l'Otan, en plus du projet de bouclier antimissile. Certains de ses partenaires européens craignent toutefois de faire les frais de ce réajustement diplomatique.
"Les Polonais sont nerveux", rapportent ainsi un responsable militaire américain
Source: Reuters via Yahoo News
L'administration Bush, qui disait vouloir mettre les Etats-Unis et les capitales européennes à l'abri de la menace nucléaire iranienne, assurait que le bouclier antimissile ne visait en rien la Russie, mais Moscou y voyait une atteinte à l'équilibre des forces hérité de la guerre froide.
L'équipe de Barack Obama, va se prononcer en faveur de dispositifs antimissiles moins controversés, mais se réservera probablement la possibilité de relancer le projet "si l'Iran accomplit des progrès en matière de missiles à longue portée".
L'actuel locataire de la Maison blanche a souhaité remettre à plat les relations avec la Russie, mises à mal par le conflit d'août 2008 en Géorgie et l'élargissement à l'Est de l'Otan, en plus du projet de bouclier antimissile. Certains de ses partenaires européens craignent toutefois de faire les frais de ce réajustement diplomatique.
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Source: Reuters via Yahoo News
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