Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average prenait 35,04 points, à 7.252,01 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 20,27 points, à 1.424,29 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui avançait de 0,88% (6,65 point), à 760,54 points.
Lundi, Wall Street avait terminé en baisse, les indices cédant dans les derniers échanges, ce qui avait mis fin à une série de quatre séances positives. Le Dow Jones avait perdu 0,10% et le Nasdaq 1,92%.
"C'est assez constructif d'avoir un jour comme celui-ci où l'on peut respirer", a estimé Marc Pado, de Cantor Fitzgerald. "Le marché tient le coup après une hausse à trois chiffres" (en points) de l'indice Dow Jones au cours des précédentes séances, s'est-il réjouit.
Mais la séance pourrait être volatile, tout comme celles qui vont suivre, pour des raisons techniques, un certain nombre d'options arrivant à expiration vendredi, a expliqué l'analyste.
La forte baisse du producteur d'aluminium Alcoa, de 8,01% à 5,63 dollars, handicapait l'indice Dow Jones. Le groupe a taillé dans son dividende, "ce qui indique que l'économie est toujours en difficulté", vu le rôle de l'aluminium dans de nombreuses industries, a souligné M. Pado.
Alcoa va aussi réduire ses investissements et lever des fonds sur le marché, tout en prévoyant une nouvelle perte au premier trimestre.
Le marché était toutefois soutenu par des statistiques meilleures que prévu dans l'immobilier. Les mises en chantier de logements et les permis de construire délivrés aux Etats-Unis ont rebondi de manière inattendue en février, après sept mois de baisse.
Il s'agit d'un "rebond temporaire, pas d'un rétablissement" pour ce secteur au cœur de la crise, a observé Ian Shepherdson, économiste chez High Frequency Economics. Mais ces chiffres pourraient signifier que "le krach post-Lehman (Brothers, qui a fait faillite en septembre, ndlr) est terminé".
Cette bonne surprise a en tout cas profité au spécialiste du bricolage Home Depot, l'une des plus fortes hausse du Dow Jones, de 4,97% à 21,14 dollars.
Les valeurs bancaires étaient mitigées, Citigroup affichant encore une hausse, de 6,87% à 2,49 dollars. En revanche, Bank of America rendait un peu des forts gains enregistrés ces dernières séances (-2,27% à 6,04 dollars).
La Réserve fédérale a annoncé mardi qu'elle repoussait de deux ans, au 31 mars 2011, l'adoption d'une réglementation qui aurait durci ses exigences en matière de fonds propres "durs" des grandes banques commerciales.
Le titre du constructeur automobile General Motors subissait également des prises de bénéfice, reculant de 3,13% à 2,44 dollars, après un rebond de 46% la semaine précédente.
Le marché obligataire était mitigé. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans se stabilisait à 2,949% contre 2,951% lundi soir et celui à 30 ans baissait à 3,727%, contre 3,765% la veille.
Source: Yahoo News
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui avançait de 0,88% (6,65 point), à 760,54 points.
Lundi, Wall Street avait terminé en baisse, les indices cédant dans les derniers échanges, ce qui avait mis fin à une série de quatre séances positives. Le Dow Jones avait perdu 0,10% et le Nasdaq 1,92%.
"C'est assez constructif d'avoir un jour comme celui-ci où l'on peut respirer", a estimé Marc Pado, de Cantor Fitzgerald. "Le marché tient le coup après une hausse à trois chiffres" (en points) de l'indice Dow Jones au cours des précédentes séances, s'est-il réjouit.
Mais la séance pourrait être volatile, tout comme celles qui vont suivre, pour des raisons techniques, un certain nombre d'options arrivant à expiration vendredi, a expliqué l'analyste.
La forte baisse du producteur d'aluminium Alcoa, de 8,01% à 5,63 dollars, handicapait l'indice Dow Jones. Le groupe a taillé dans son dividende, "ce qui indique que l'économie est toujours en difficulté", vu le rôle de l'aluminium dans de nombreuses industries, a souligné M. Pado.
Alcoa va aussi réduire ses investissements et lever des fonds sur le marché, tout en prévoyant une nouvelle perte au premier trimestre.
Le marché était toutefois soutenu par des statistiques meilleures que prévu dans l'immobilier. Les mises en chantier de logements et les permis de construire délivrés aux Etats-Unis ont rebondi de manière inattendue en février, après sept mois de baisse.
Il s'agit d'un "rebond temporaire, pas d'un rétablissement" pour ce secteur au cœur de la crise, a observé Ian Shepherdson, économiste chez High Frequency Economics. Mais ces chiffres pourraient signifier que "le krach post-Lehman (Brothers, qui a fait faillite en septembre, ndlr) est terminé".
Cette bonne surprise a en tout cas profité au spécialiste du bricolage Home Depot, l'une des plus fortes hausse du Dow Jones, de 4,97% à 21,14 dollars.
Les valeurs bancaires étaient mitigées, Citigroup affichant encore une hausse, de 6,87% à 2,49 dollars. En revanche, Bank of America rendait un peu des forts gains enregistrés ces dernières séances (-2,27% à 6,04 dollars).
La Réserve fédérale a annoncé mardi qu'elle repoussait de deux ans, au 31 mars 2011, l'adoption d'une réglementation qui aurait durci ses exigences en matière de fonds propres "durs" des grandes banques commerciales.
Le titre du constructeur automobile General Motors subissait également des prises de bénéfice, reculant de 3,13% à 2,44 dollars, après un rebond de 46% la semaine précédente.
Le marché obligataire était mitigé. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans se stabilisait à 2,949% contre 2,951% lundi soir et celui à 30 ans baissait à 3,727%, contre 3,765% la veille.
Source: Yahoo News