Vers 16H00 GMT, le Dow Jones Industrial Average prenait 95,34 points, à 7.319,32 points, tandis que le Nasdaq, qui est dominé par les valeur de haute technologie, cédait 3,49 points, à 1.428,01 points.
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui progressait de 1,45% (10,98 points), à 767,53 points.
Vendredi, Wall Street avait terminé en hausse, pour la quatrième séance consécutive. Le Dow Jones avait engrangé 0,75% --portant son avancée sur la semaine à 9%-- et le Nasdaq 0,38%, alors que de nombreux analystes soulignaient un changement de mentalité sur le marché.
"Le rebond est là, emmené par les bancaires, tout le monde veut l'acheter", a constaté Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management.
"Personne n'envisage plus qu'un rebond dans un marché baissier, mais c'est beaucoup d'enthousiasme", a-t-il ajouté, précisant que les achats étaient surtout destinés à couvrir des ventes massives sur certains titres et secteurs.
Les valeurs financières continuaient leur convalescence. Bank of America montait de 11,98% à 6,12 dollars, Citigroup de 31,92% à 2,35 dollars et JPMorgan Chase de 4,42% à 24,80 dollars.
Le secrétaire au Trésor Tim Geithner devrait fournir plus de détails cette semaine sur son plan destiné à aider les banques à se débarrasser de leurs actifs douteux, espèrent les intervenants.
"Le sentiment positif envers le secteur financier continue de stimuler le marché et inspire un optimisme relatif selon lequel l'économie mondiale pourrait montrer des signes de rétablissement", ont estimé les analystes de Charles Schwab.
Les investisseurs réagissaient en revanche positivement aux commentaires du président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, qui voit la fin de la récession "probablement cette année" et une reprise "au début de l'année prochaine".
Toutefois, les statistiques restaient mauvaises. La production industrielle aux Etats-Unis a baissé en février pour le quatrième mois de suite, reculant de 1,4% par rapport à janvier, pour tomber au plus bas depuis sept ans. Et la tendance ne semble pas près de s'interrompre car l'activité industrielle autour de New York a encore chuté en mars.
Le week-end a également vu la réunion des grands argentiers du G20, qui n'a pas abouti à des avancées concrètes, mais avec la promesse de restaurer la croissance et d'augmenter les ressources du Fonds monétaire international.
Côté valeurs, le groupe Cisco (+0,13% à 15,52 dollars) va annoncer lundi son entrée sur le marché des serveurs informatiques, ce qui va l'amener à entrer en collision frontale avec ses clients IBM et Hewlett Packard..
Les valeurs technologiques manquaient de fermeté. Dell souffrait de l'annonce de Cisco et lâchait 3,42% à 9,05 dollars. Composant du Dow Jones, le fabricant de microprocesseurs Intel perdait 2,04%.
Le titre du conglomérat industriel General Electric tournait autour du seuil des 10 dollars, à 10,02 dollars (+4,16%). La banque UBS a retiré sa note qui recommandait de vendre l'action.
En revanche, le constructeur General Motors abandonnait 6,92% à 2,53 dollars après avoir repris 46% au cours des deux séances précédentes.
Le marché obligataire était en forte baisse. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans remontait à 2,977% contre 2,885% vendredi soir et celui à 30 ans à 3,798%, contre 3,672% vendredi.
Source. Yahoo News
L'indice élargi Standard & Poor's 500 quant à lui progressait de 1,45% (10,98 points), à 767,53 points.
Vendredi, Wall Street avait terminé en hausse, pour la quatrième séance consécutive. Le Dow Jones avait engrangé 0,75% --portant son avancée sur la semaine à 9%-- et le Nasdaq 0,38%, alors que de nombreux analystes soulignaient un changement de mentalité sur le marché.
"Le rebond est là, emmené par les bancaires, tout le monde veut l'acheter", a constaté Mace Blicksilver, de Marblehead Asset Management.
"Personne n'envisage plus qu'un rebond dans un marché baissier, mais c'est beaucoup d'enthousiasme", a-t-il ajouté, précisant que les achats étaient surtout destinés à couvrir des ventes massives sur certains titres et secteurs.
Les valeurs financières continuaient leur convalescence. Bank of America montait de 11,98% à 6,12 dollars, Citigroup de 31,92% à 2,35 dollars et JPMorgan Chase de 4,42% à 24,80 dollars.
Le secrétaire au Trésor Tim Geithner devrait fournir plus de détails cette semaine sur son plan destiné à aider les banques à se débarrasser de leurs actifs douteux, espèrent les intervenants.
"Le sentiment positif envers le secteur financier continue de stimuler le marché et inspire un optimisme relatif selon lequel l'économie mondiale pourrait montrer des signes de rétablissement", ont estimé les analystes de Charles Schwab.
Les investisseurs réagissaient en revanche positivement aux commentaires du président de la Réserve fédérale Ben Bernanke, qui voit la fin de la récession "probablement cette année" et une reprise "au début de l'année prochaine".
Toutefois, les statistiques restaient mauvaises. La production industrielle aux Etats-Unis a baissé en février pour le quatrième mois de suite, reculant de 1,4% par rapport à janvier, pour tomber au plus bas depuis sept ans. Et la tendance ne semble pas près de s'interrompre car l'activité industrielle autour de New York a encore chuté en mars.
Le week-end a également vu la réunion des grands argentiers du G20, qui n'a pas abouti à des avancées concrètes, mais avec la promesse de restaurer la croissance et d'augmenter les ressources du Fonds monétaire international.
Côté valeurs, le groupe Cisco (+0,13% à 15,52 dollars) va annoncer lundi son entrée sur le marché des serveurs informatiques, ce qui va l'amener à entrer en collision frontale avec ses clients IBM et Hewlett Packard..
Les valeurs technologiques manquaient de fermeté. Dell souffrait de l'annonce de Cisco et lâchait 3,42% à 9,05 dollars. Composant du Dow Jones, le fabricant de microprocesseurs Intel perdait 2,04%.
Le titre du conglomérat industriel General Electric tournait autour du seuil des 10 dollars, à 10,02 dollars (+4,16%). La banque UBS a retiré sa note qui recommandait de vendre l'action.
En revanche, le constructeur General Motors abandonnait 6,92% à 2,53 dollars après avoir repris 46% au cours des deux séances précédentes.
Le marché obligataire était en forte baisse. Le rendement du bon du Trésor à 10 ans remontait à 2,977% contre 2,885% vendredi soir et celui à 30 ans à 3,798%, contre 3,672% vendredi.
Source. Yahoo News