Vol AF447: les recherches sont terminées et "n'ont pas permis de localiser l'épave", selon le BEA
Les recherches menées dans l'Atlantique pour retrouver l'épave du vol AF447 d'Air France sont terminées et "n'ont pas permis de localiser l'épave", a-t-on appris mardi auprès du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'Aviation civile (BEA). "Les recherches en mer se sont terminées le 24 mai et (...) elles n'ont pas permis de localiser l'épave de l'avion accidenté", a indiqué le chef de la communication du BEA, Alain Guilldou, dans un courriel adressé à l'Associated Press. L'Airbus A330-200 d'Air France s'est abîmé le 1er juin 2009 en plein milieu de l'Atlantique, quelques heures après avoir décollé de Rio à destination de Paris.(AP)
Les recherches de l'AF 447 vireraient au conflit d'experts
Selon le quotidien, la Marine nationale et le Bureau enquêtes et analyses (BEA) s'opposent en effet sur la position de l'épave. Le ministère français de la Défense avait annoncé le 6 mai avoir défini, par une étude en laboratoire, une zone grande comme Paris, dont l'exploration par des robots sous-marins n'a rien donné pour le moment. Mais une source proche du BEA, citée par Le Figaro, estime que l'armée a confondu les signaux de tests effectués sur des boîtes noires en Méditerranée avec ceux des boîtes noires de l'AF 447. Elle aurait alors indiqué une zone qui n'était pas la bonne aux enquêteurs. "Depuis, les relations du BEA qui dépend du ministère des Transports se seraient un peu refroidies avec le ministère de la Défense", écrit le quotidien. Interrogée par le Figaro, l'armée n'a pas cette version des faits. "Nous avons retiré certaines positions mais nous maintenons que certaines positions communiquées au BEA sont justes. Elles n'ont pas été explorées", dit une source au ministère de la Défense. "Le BEA préfère dire que l'armée s'est trompée plutôt que de dire que l'on a perçu le signal des boites noires mais que l'on ne saura peut être jamais d'où il vient", ajoute-t-elle. Les informations de l'armée avaient conduit le BEA à envoyer un navire spécialisé sur une zone située à 400 km au nord-ouest des îles brésiliennes de Sao Pedro et Sao Paulo, à l'écart d'un périmètre précédemment défini par une étude propre au BEA. Seuls des débris, dont l'empennage de l'avion, ont été jusqu'ici repêchés, immédiatement après l'accident, ainsi qu'une cinquantaine de corps.(reuters)
Les recherches menées dans l'Atlantique pour retrouver l'épave du vol AF447 d'Air France sont terminées et "n'ont pas permis de localiser l'épave", a-t-on appris mardi auprès du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'Aviation civile (BEA). "Les recherches en mer se sont terminées le 24 mai et (...) elles n'ont pas permis de localiser l'épave de l'avion accidenté", a indiqué le chef de la communication du BEA, Alain Guilldou, dans un courriel adressé à l'Associated Press. L'Airbus A330-200 d'Air France s'est abîmé le 1er juin 2009 en plein milieu de l'Atlantique, quelques heures après avoir décollé de Rio à destination de Paris.(AP)
Les recherches de l'AF 447 vireraient au conflit d'experts
Selon le quotidien, la Marine nationale et le Bureau enquêtes et analyses (BEA) s'opposent en effet sur la position de l'épave. Le ministère français de la Défense avait annoncé le 6 mai avoir défini, par une étude en laboratoire, une zone grande comme Paris, dont l'exploration par des robots sous-marins n'a rien donné pour le moment. Mais une source proche du BEA, citée par Le Figaro, estime que l'armée a confondu les signaux de tests effectués sur des boîtes noires en Méditerranée avec ceux des boîtes noires de l'AF 447. Elle aurait alors indiqué une zone qui n'était pas la bonne aux enquêteurs. "Depuis, les relations du BEA qui dépend du ministère des Transports se seraient un peu refroidies avec le ministère de la Défense", écrit le quotidien. Interrogée par le Figaro, l'armée n'a pas cette version des faits. "Nous avons retiré certaines positions mais nous maintenons que certaines positions communiquées au BEA sont justes. Elles n'ont pas été explorées", dit une source au ministère de la Défense. "Le BEA préfère dire que l'armée s'est trompée plutôt que de dire que l'on a perçu le signal des boites noires mais que l'on ne saura peut être jamais d'où il vient", ajoute-t-elle. Les informations de l'armée avaient conduit le BEA à envoyer un navire spécialisé sur une zone située à 400 km au nord-ouest des îles brésiliennes de Sao Pedro et Sao Paulo, à l'écart d'un périmètre précédemment défini par une étude propre au BEA. Seuls des débris, dont l'empennage de l'avion, ont été jusqu'ici repêchés, immédiatement après l'accident, ainsi qu'une cinquantaine de corps.(reuters)
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