- Un attachement particulier à l’alcool
Il faut être attentif à ses habitudes pour savoir si ce n’est que l’alcool qui motive notre désir de participation à une fête. Attention si vous ne préférez que les boissons alcoolisées !
- L’impossibilité de ne pouvoir arrêter de prendre de l’alcool
La situation a déjà commencé par s’empirer si vous voulez bien arrêter de prendre de l’alcool et que vous n’arrivez pas. Peu importe la raison ; lorsque votre seule volonté ne suffit plus pour arrêter, il faut commencer par se poser des questions.
- Plus que la dose normale par jour
Il faut se rappeler que la dose fixée par l’OMS est de 30g par jour pour un homme et 20g par jour pour la femme. C’est évident que certaines personnes n’arrivent pas à atteindre cette dose, ce n’est pas un défaut. Le défaut réside dans le fait de dépasser cette limite sans inquiétude.
- La non maîtrise de soi après quelques verres
C’est non seulement dangereux pour le consommateur mais aussi pour son entourage. Lorsque l’alcool vous fait changer de comportement même si vous n’avez pas atteint une dose autorisée, il faut savoir déjà que vous avez un problème.
- Une perte de temps à cause de l’alcool
Soit pour aller vers l’alcool soit après la consommation il faut évaluer le temps que cela vous prend pour savoir si c’est rentable. Ça peut tout de suite agir sur votre travail et sur vos finances.
- Plus d’envi de boire l’alcool
Il faut faire une comparaison entre le passé et la situation actuelle pour savoir si l’envi de boire n’augmente pas en fréquence comme en quantité. Cela est déjà grave si vous ne résistez pas à l’envi.
- Quand est-ce que je buvais et quand est ce que je bois ?
Il ne s’agit pas des occasions mais le moment de la journée. Très souvent l’alcoolisme commence à partir de l’envi de vite boire. Si vous passez de "après le travail" à "pendant ou avant le travail" c’est inquiétant.
- Est-ce que ma situation attire déjà l’attention du voisinage ?
Les plus courageux oseront vous dire ce qu’ils constatent sur votre consommation d’alcool.
Je ne me soule plus malgré que je bois beaucoup
- L’alcoolisme ne s’évalue pas à l’ivresse, mais au taux dans le sang.
Échec répété des tentatives d’arrêter
La volonté y est mais l’envi domine et on finit par céder, c’est déjà un signe d’alcoolisme.