"Je n'étais pas très à l'aise (...) Je ne dis pas qu'il ne fallait pas inviter le colonel Kadhafi. Mais, comme bien d'autres membres du gouvernement, et au sommet même de l'Etat, nous avons été surpris dans ces cinq jours par le faste étalé", a déclaré M. Koucher à Radio J.
"Peut-être aurions nous dû ne pas avoir cinq jours de visite et réduire cette visite à une visite ordinaire", a estimé M. Kouchner.
"C'était une visite excessive mais nécessaire", a-t-il dit.
Le ministre des affaires étrangères, qui n'a pas rencontré M. Kadhafi durant son séjour, a ainsi estimé qu'il "fallait le recevoir" car il faut "donner un peu de crédit à ceux qui font des progrès, ceux qui refusent le terrorisme".
"Nous pensons que cette visite aura été utile pour faire adhérer la Libye à la communauté internationale et faire en sorte que des progrès viennent pour les Libyens (...) il faut faire évoluer ce régime", a-t-il dit, plaidant pour une "diplomatie de la réconciliation".
Il a enfin souligné que la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme Rama Yade, qui s'était fermement élevée contre la venue de M. Kadhafi, avait "peut être un peu trop" parlé.
"Je l'ai défendue et je continue de la défendre", a dit M. Kouchner qui s'est toutefois déclaré "choqué par les termes qu'elle a employés".
"Il y a des choses qu'il ne faut pas dire, je le sais", a-t-il déploré.
Mme Yade avait exhorté la France à ne pas "recevoir le baiser de la mort" de M. Kadhafi.
"Peut-être aurions nous dû ne pas avoir cinq jours de visite et réduire cette visite à une visite ordinaire", a estimé M. Kouchner.
"C'était une visite excessive mais nécessaire", a-t-il dit.
Le ministre des affaires étrangères, qui n'a pas rencontré M. Kadhafi durant son séjour, a ainsi estimé qu'il "fallait le recevoir" car il faut "donner un peu de crédit à ceux qui font des progrès, ceux qui refusent le terrorisme".
"Nous pensons que cette visite aura été utile pour faire adhérer la Libye à la communauté internationale et faire en sorte que des progrès viennent pour les Libyens (...) il faut faire évoluer ce régime", a-t-il dit, plaidant pour une "diplomatie de la réconciliation".
Il a enfin souligné que la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme Rama Yade, qui s'était fermement élevée contre la venue de M. Kadhafi, avait "peut être un peu trop" parlé.
"Je l'ai défendue et je continue de la défendre", a dit M. Kouchner qui s'est toutefois déclaré "choqué par les termes qu'elle a employés".
"Il y a des choses qu'il ne faut pas dire, je le sais", a-t-il déploré.
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