Les violences récentes entre Palestiniens dans la bande de Gaza ont laissé de nombreux jeunes traumatisés et incapables de vaquer à leurs activités quotidiennes. Les échauffourées ont tué plus de 110 personnes et fait 500 blessés.
Les familles sont restées terrées dans leur maison, sans pouvoir en sortir. Les jeunes ont été laissés sans autre alternative que d'attendre et espérer, déçus par l'annulation de leurs projets d'été et en proie à l'incertitude qui marque désormais leur vie.
Les bombes ont causé des dégâts considérables au réseau électrique de Gaza, et de nombreuses personnes ont perdu l'électricité dans leur foyer. Ces coupures de courant ont également causé l'interruption des services de voirie et d'approvisionnement en eau.
Des jeunes comme Julie, Chris, Mustafa et Yaffa doivent gérer le traumatisme qu'ils ont connu et contempler l'incertitude de leur avenir.
«On a peur que l'eau et l'électricité soient coupées», dit Chris. «On a peur de ne plus recevoir d'argent ni de nourriture à cause de la fermeture des frontières avec tous les pays qui soutiennent Gaza. On a déjà connu la même chose l'été dernier.»
«J'ai peur de sortir, et mes amis aussi, parce qu'on a peur que les combats reprennent à Gaza», explique-t-il.
«Toutes les fois où j'espère que tout va s'arranger», dit tristement Julie, «les combats reprennent, à tous les coups, encore et toujours. Ça ne s'arrête jamais.»
Les services conseils psychosociaux, quant à eux, ont repris à Gaza grâce à un partenariat entre l'UNICEF et des organisations non gouvernementales locales. Les équipes sur le terrain procèdent actuellement à un tri dans les secteurs les plus touchés pour identifier les enfants qui ont le plus besoin d'attention.
Les familles sont restées terrées dans leur maison, sans pouvoir en sortir. Les jeunes ont été laissés sans autre alternative que d'attendre et espérer, déçus par l'annulation de leurs projets d'été et en proie à l'incertitude qui marque désormais leur vie.
Les bombes ont causé des dégâts considérables au réseau électrique de Gaza, et de nombreuses personnes ont perdu l'électricité dans leur foyer. Ces coupures de courant ont également causé l'interruption des services de voirie et d'approvisionnement en eau.
Des jeunes comme Julie, Chris, Mustafa et Yaffa doivent gérer le traumatisme qu'ils ont connu et contempler l'incertitude de leur avenir.
«On a peur que l'eau et l'électricité soient coupées», dit Chris. «On a peur de ne plus recevoir d'argent ni de nourriture à cause de la fermeture des frontières avec tous les pays qui soutiennent Gaza. On a déjà connu la même chose l'été dernier.»
«J'ai peur de sortir, et mes amis aussi, parce qu'on a peur que les combats reprennent à Gaza», explique-t-il.
«Toutes les fois où j'espère que tout va s'arranger», dit tristement Julie, «les combats reprennent, à tous les coups, encore et toujours. Ça ne s'arrête jamais.»
Les services conseils psychosociaux, quant à eux, ont repris à Gaza grâce à un partenariat entre l'UNICEF et des organisations non gouvernementales locales. Les équipes sur le terrain procèdent actuellement à un tri dans les secteurs les plus touchés pour identifier les enfants qui ont le plus besoin d'attention.
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