À l'issue d'un mois d'audiences dans cette affaire dont il était le plus illustre prévenu, l'ancien Premier ministre est revenu sur le terrain politique pour critiquer les choix récents du gouvernement français.
« Je fais partie de ceux qui se battent pour essayer d'offrir une alternative aux Français », a-t-il dit ce lundi.
« Nous avons besoin de plus de diversité d'expressions [et de] propositions », a ajouté Dominique de Villepin, estimant notamment nécessaire d'augmenter les impôts et de les rendre « plus justes » et « plus efficaces ».
Tout en regrettant la succession de polémiques ayant émaillé la politique française ces dernières semaines, il a critiqué le renvoi forcé dans leur pays de trois Afghans et dit voir dans l'affaire Jean Sarkozy ce qui « peut ressembler à de la faveur ».
Dans le cadre du procès Clearstream achevé vendredi dernier, le procureur de Paris Jean-Claude Marin a requis 18 mois de prison avec sursis et 45 000 euros d'amende contre Dominique de Villepin pour « complicité de dénonciation calomnieuse ».
L'ancien Premier ministre a dit qu'il n'envisageait « pas la condamnation ».
Le jugement a été mis en délibéré par le tribunal correctionnel de Paris au 28 janvier 2010.
Source: Reuters via Yahoo News
« Je fais partie de ceux qui se battent pour essayer d'offrir une alternative aux Français », a-t-il dit ce lundi.
« Nous avons besoin de plus de diversité d'expressions [et de] propositions », a ajouté Dominique de Villepin, estimant notamment nécessaire d'augmenter les impôts et de les rendre « plus justes » et « plus efficaces ».
Tout en regrettant la succession de polémiques ayant émaillé la politique française ces dernières semaines, il a critiqué le renvoi forcé dans leur pays de trois Afghans et dit voir dans l'affaire Jean Sarkozy ce qui « peut ressembler à de la faveur ».
Dans le cadre du procès Clearstream achevé vendredi dernier, le procureur de Paris Jean-Claude Marin a requis 18 mois de prison avec sursis et 45 000 euros d'amende contre Dominique de Villepin pour « complicité de dénonciation calomnieuse ».
L'ancien Premier ministre a dit qu'il n'envisageait « pas la condamnation ».
Le jugement a été mis en délibéré par le tribunal correctionnel de Paris au 28 janvier 2010.
Source: Reuters via Yahoo News
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