De leur côté, les associations Agir pour l'environnement et Priartem annonçaient que 'déçues' et 'en colère', elles 'suspendaient leur participation' au comité de suivi censé donner corps aux 'dix recommandations' affichées par les ministres.
C'est dire si 'le dialogue citoyen pour faire émerger des solutions consensuelles', objet principal selon le ministre de la santé, Roselyne Bachelot, des vingt heures de débats de cette table ronde 'Radiofréquences, santé et environnement', n'a pas, aux yeux des associations de défense de l'environnement, rempli son oeuvre.
Ce qui n'a pas empêché les ministres de donner rendez-vous aux intervenants en septembre, après la publication du rapport de l'Association française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) qui permettra peut-être d'y voir plus clair au plan de l'expertise sanitaire.
En attendant l'Afsset, mais aussi les résultats très attendus de l'étude Interphone sur la nocivité des portables, l'application du principe de précaution pour les enfants reste, selon la secrétaire d'Etat à l'écologie, Chantal Jouanno, 'la priorité du gouvernement'.
Mesure la plus symbolique de ce Grenelle, l'usage du portable va être interdit à l'école primaire, alors qu'actuellement la liberté est laissée à chaque école d'inscrire ou non cette interdiction dans son règlement intérieur.
La mesure, en deçà de celle figurant dans le rapport de restitution remis mercredi dernier aux participants qui évoquait l'idée 'd'interdire la vente, voire l'usage au sein des établissements scolaires, des téléphones portables pour les moins de 12 ans', est jugé très insuffisante par les associations qui préconisent une interdiction au moins jusqu'à 12 ans, voire 14 ans pour certaines. Evoquant la demande des 'parents séparés', Mme Kosciusko-Morizet a jugé impossible d'aller aussi loin.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
C'est dire si 'le dialogue citoyen pour faire émerger des solutions consensuelles', objet principal selon le ministre de la santé, Roselyne Bachelot, des vingt heures de débats de cette table ronde 'Radiofréquences, santé et environnement', n'a pas, aux yeux des associations de défense de l'environnement, rempli son oeuvre.
Ce qui n'a pas empêché les ministres de donner rendez-vous aux intervenants en septembre, après la publication du rapport de l'Association française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) qui permettra peut-être d'y voir plus clair au plan de l'expertise sanitaire.
En attendant l'Afsset, mais aussi les résultats très attendus de l'étude Interphone sur la nocivité des portables, l'application du principe de précaution pour les enfants reste, selon la secrétaire d'Etat à l'écologie, Chantal Jouanno, 'la priorité du gouvernement'.
Mesure la plus symbolique de ce Grenelle, l'usage du portable va être interdit à l'école primaire, alors qu'actuellement la liberté est laissée à chaque école d'inscrire ou non cette interdiction dans son règlement intérieur.
La mesure, en deçà de celle figurant dans le rapport de restitution remis mercredi dernier aux participants qui évoquait l'idée 'd'interdire la vente, voire l'usage au sein des établissements scolaires, des téléphones portables pour les moins de 12 ans', est jugé très insuffisante par les associations qui préconisent une interdiction au moins jusqu'à 12 ans, voire 14 ans pour certaines. Evoquant la demande des 'parents séparés', Mme Kosciusko-Morizet a jugé impossible d'aller aussi loin.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
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