Le Venezuela:
Depuis son accession au pouvoir, la ligne directrice de la politique étrangère vénézuelienne a bien changé. En effet, le partenariat avec les Etats-Unis a totalement était remis en question et on peut même affirmer que Hugo Chavez mène une véritable « guerre » au système américain.
Pour ce faire, le président vénézuelien utilise ce qui est pour sûr actuellement, l'objet de toutes les convoitise américaines : le pétrole. L'or noir est devenu l'instrument essentiel des relations extérieures du Venezuela comme l'affirme le ministre des affaires étrangères M. Rodriguez qui institua son mandat en disant « la politique internationale du Venezuela a une composante très forte en matière d'hydrocarbures ».
Grâce à cette rente pétrolière importante Hugo Chavez a pu mettre en place un autre principe de la diplomatie bolivarienne : la coopération sud/sud qui correspond à son souhait de promouvoir un monde multipolaire. « Nous ne voulons pas dépendre d'un seul pays. Nous utilisons notre pétrole pour ouvrir des marchés et nouer de nouvelles alliances ».
La Colombie:
Les FARC contrôlent les zones amazoniennes où les cultures sont implantées, et elles en ont même facilité l’expansion en protégeant les planteurs des éventuelles actions de la force publique.
Les revenus de la drogue leur ont permis d’acheter des armes, de recruter et aussi de s’implanter dans les régions économiques les plus productives du pays.
Depuis l’année 2000, des moyens beaucoup plus importants, financés en partie par l’aide américaine pour lutter contre le trafic de drogue, sont consacrés à la lutte contre les FARC.
Le président Alvaro Uribe, élu en 2002, a lancé le « plan patriote » destiné à affaiblir les FARC en les isolant de leurs bases arrière. Si les résultats ne sont pas encore très visibles, sa réélection en 2006 confirme le soutien de la population envers sa politique.
Sources:
memoireonline.free.fr
herodote.org
Depuis son accession au pouvoir, la ligne directrice de la politique étrangère vénézuelienne a bien changé. En effet, le partenariat avec les Etats-Unis a totalement était remis en question et on peut même affirmer que Hugo Chavez mène une véritable « guerre » au système américain.
Pour ce faire, le président vénézuelien utilise ce qui est pour sûr actuellement, l'objet de toutes les convoitise américaines : le pétrole. L'or noir est devenu l'instrument essentiel des relations extérieures du Venezuela comme l'affirme le ministre des affaires étrangères M. Rodriguez qui institua son mandat en disant « la politique internationale du Venezuela a une composante très forte en matière d'hydrocarbures ».
Grâce à cette rente pétrolière importante Hugo Chavez a pu mettre en place un autre principe de la diplomatie bolivarienne : la coopération sud/sud qui correspond à son souhait de promouvoir un monde multipolaire. « Nous ne voulons pas dépendre d'un seul pays. Nous utilisons notre pétrole pour ouvrir des marchés et nouer de nouvelles alliances ».
La Colombie:
Les FARC contrôlent les zones amazoniennes où les cultures sont implantées, et elles en ont même facilité l’expansion en protégeant les planteurs des éventuelles actions de la force publique.
Les revenus de la drogue leur ont permis d’acheter des armes, de recruter et aussi de s’implanter dans les régions économiques les plus productives du pays.
Depuis l’année 2000, des moyens beaucoup plus importants, financés en partie par l’aide américaine pour lutter contre le trafic de drogue, sont consacrés à la lutte contre les FARC.
Le président Alvaro Uribe, élu en 2002, a lancé le « plan patriote » destiné à affaiblir les FARC en les isolant de leurs bases arrière. Si les résultats ne sont pas encore très visibles, sa réélection en 2006 confirme le soutien de la population envers sa politique.
Sources:
memoireonline.free.fr
herodote.org
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