Au total, plus de 555 personnes ont été admises dans les hôpitaux depuis samedi 5 décembre 2020, dont 80 mardi 9 décembre. Le gouvernement indien a dépêché une équipe médicale composée d’experts de l’Institut national de virologie, du centre national de contrôle de maladies et de l’Institut des sciences médicales des Indes à Eluru, dans l'Etat de L’Andhra Pradesh pour enquêter, alors qu’un homme est mort après avoir présenté des convulsions, des nausées et des douleurs.
Des échantillons de sang prélevés sur dix personnes ont révélé des taux élevés de plomb et de nickel chez les patients, a déclaré le directeur de l’hôpital d’Eluru, A. V. Mohan. Les autorités de l’Etat de l’Andhra Pradesh ont alors ordonné une enquête sur l’origine de la présence de ces métaux lourds dans l’organisme des malades.
Cependant, a relevé M. Mohan, les échantillons sont trop peu nombreux pour affirmer avec certitude que le plomb et le nickel ont causé cette maladie qui s’est répandue dans la ville de 200 000 habitants.
Des analyses de l’eau et des boissons lactées ont été faites. Les experts ont également recueilli des échantillons de riz et d’huile de cuisine, ainsi que des échantillons d’urine, pour qu’ils soient analysés. Certains responsables locaux ont évoqué le rôle éventuel d’additifs chimiques dans les pesticides.
L’Inde, par ailleurs confrontée à la pandémie de Covid-19, se classe au deuxième rang mondial en nombre de contaminations avec près de 10 millions de cas.
Des échantillons de sang prélevés sur dix personnes ont révélé des taux élevés de plomb et de nickel chez les patients, a déclaré le directeur de l’hôpital d’Eluru, A. V. Mohan. Les autorités de l’Etat de l’Andhra Pradesh ont alors ordonné une enquête sur l’origine de la présence de ces métaux lourds dans l’organisme des malades.
Cependant, a relevé M. Mohan, les échantillons sont trop peu nombreux pour affirmer avec certitude que le plomb et le nickel ont causé cette maladie qui s’est répandue dans la ville de 200 000 habitants.
Des analyses de l’eau et des boissons lactées ont été faites. Les experts ont également recueilli des échantillons de riz et d’huile de cuisine, ainsi que des échantillons d’urine, pour qu’ils soient analysés. Certains responsables locaux ont évoqué le rôle éventuel d’additifs chimiques dans les pesticides.
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