Il est de retour en France. Le violeur en série qui avait semé la panique en région parisienne fin 2011 avait refait surface dans une prison belge. Le pays a finalement extradé mardi le suspect vers la France, a indiqué une source judiciaire à l'AFP, confirmant une information de RTL. Placé en détention provisoire, le suspect a été mis en examen. Âgé d'une trentaine d'années, l'homme a été interpellé pour vol en Belgique et incarcéré à Anvers. Ce sont ses empreintes digitales qui ont permis aux enquêteurs de faire le lien avec les trois viols perpétrés en région parisienne. Il s'est excusé auprès de ses victimes. L'homme est en effet soupçonné d'avoir agressé à coups de couteau deux femmes âgées d'une trentaine d'années, le 23 décembre 2011 à Paris, et une adolescente de 15 ans, cinq jours plus tard à Etampes, dans l'Essonne. Le violeur présumé avait agressé ses victimes à coups de couteau. Un appel à témoins a été lancé en janvier par les enquêteurs, déroutés par le comportement du violeur, considéré comme «dangereux». Se basant sur les témoignages des victimes, les policiers avaient précisé qu'«il s'est excusé auprès d'elles après les avoir violées et poignardées.»(20minutes.fr)
Les violeurs sont des malades mentaux avant tout, et il faut les soigner. Cependant on ne peut pas oublier qu'ils ont fait beaucoup de mal, il faut prendre ces deux paramètres en compte lors du jugement. Les législations actuelles sont sous le joug des opinions publiques; c'est ainsi que l'on voir fleurir, depuis quelques années, des déclarations de familles de victimes qui assurent ne pouvoir "faire leur deuil" si le coupable n'est pas sous les barreaux. Quelle réponse hors l'enfermement apporter à ces violences?
Source: Yahoo actualités
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Les violeurs sont des malades mentaux avant tout, et il faut les soigner. Cependant on ne peut pas oublier qu'ils ont fait beaucoup de mal, il faut prendre ces deux paramètres en compte lors du jugement. Les législations actuelles sont sous le joug des opinions publiques; c'est ainsi que l'on voir fleurir, depuis quelques années, des déclarations de familles de victimes qui assurent ne pouvoir "faire leur deuil" si le coupable n'est pas sous les barreaux. Quelle réponse hors l'enfermement apporter à ces violences?
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