Le collaborateur du CICR a été relâché jeudi près d'Al-Geneina, capitale du Darfour occidental, a indiqué le CICR, précisant dans un communiqué qu'il était "fatigué" mais semblait "en bonne santé" après "147 jours de captivité".
Gauthier Lefevre avait été enlevé le 22 octobre, à quelques kilomètres au nord d'Al-Geneina alors qu'il regagnait cette localité avec des collègues du CICR après une visite sur le terrain, selon le Comité international. Avant sa libération, le CICR avait fait savoir que ses ravisseurs, qui n'ont pas été identifiés, exigeaient une rançon. Il aidait les populations locales à améliorer leur système d'approvisionnement en eau.
"Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude à tous ceux qui ont travaillé si dur ces derniers mois pour obtenir la libération de Gauthier", a déclaré jeudi Daniel Duvillard, chef des opérations du CICR pour l'Afrique de l'Est, à Genève.
Une porte-parole du CICR Dorothea Krimitsas a affirmé que l'organisation n'avait payé aucune somme d'argent en échange de la libération de son collaborateur, tandis que les autorités françaises n'ont fourni aucun détail sur les circonstances de sa libération ni précisé si une rançon avait été versée.
Dans un communiqué, le président Nicolas Sarkozy a fait part de son "soulagement" après la libération de l'otage "à Bir Dabig", et a remercié "les autorités soudanaises pour leur aide particulièrement précieuse dans la gestion de cette crise".
Le chef de la diplomatie Bernard Kouchner a également accueilli la libération de Gauthier Lefevre avec "soulagement" et "une grande joie", évoquant la "longue et pénible épreuve" vécue par le ressortissant français.
Deux autres otages français, Olivier Denis et Olivier Frappé, employés de l'ONG "Triangle génération humanitaire", avaient été libérés dimanche après-midi au Darfour et sont depuis rentrés en France. Ils avaient été enlevés en République centrafricaine le 22 novembre 2009.
Le CICR travaille au Soudan depuis 1978, fournissant une aide médicale d'urgence, des soins médicaux et toute autre assistance aux civils affectés par les hostilités au Darfour.
Source: AP via Yahoo
Gauthier Lefevre avait été enlevé le 22 octobre, à quelques kilomètres au nord d'Al-Geneina alors qu'il regagnait cette localité avec des collègues du CICR après une visite sur le terrain, selon le Comité international. Avant sa libération, le CICR avait fait savoir que ses ravisseurs, qui n'ont pas été identifiés, exigeaient une rançon. Il aidait les populations locales à améliorer leur système d'approvisionnement en eau.
"Nous tenons à exprimer notre profonde gratitude à tous ceux qui ont travaillé si dur ces derniers mois pour obtenir la libération de Gauthier", a déclaré jeudi Daniel Duvillard, chef des opérations du CICR pour l'Afrique de l'Est, à Genève.
Une porte-parole du CICR Dorothea Krimitsas a affirmé que l'organisation n'avait payé aucune somme d'argent en échange de la libération de son collaborateur, tandis que les autorités françaises n'ont fourni aucun détail sur les circonstances de sa libération ni précisé si une rançon avait été versée.
Dans un communiqué, le président Nicolas Sarkozy a fait part de son "soulagement" après la libération de l'otage "à Bir Dabig", et a remercié "les autorités soudanaises pour leur aide particulièrement précieuse dans la gestion de cette crise".
Le chef de la diplomatie Bernard Kouchner a également accueilli la libération de Gauthier Lefevre avec "soulagement" et "une grande joie", évoquant la "longue et pénible épreuve" vécue par le ressortissant français.
Deux autres otages français, Olivier Denis et Olivier Frappé, employés de l'ONG "Triangle génération humanitaire", avaient été libérés dimanche après-midi au Darfour et sont depuis rentrés en France. Ils avaient été enlevés en République centrafricaine le 22 novembre 2009.
Le CICR travaille au Soudan depuis 1978, fournissant une aide médicale d'urgence, des soins médicaux et toute autre assistance aux civils affectés par les hostilités au Darfour.
Source: AP via Yahoo
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