Jeudi, le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a estimé ni réaliste ni viable de déployer des casques bleus dans la capitale somalienne comme le gouvernement intérimaire somalien le souhaiterait.
Il a fait valoir que l'insécurité qui y règne avait même empêché l'organisation mondiale d'y dépêcher une équipe d'évaluation technique.
Grâce à l'appui du corps expéditionnaire éthiopien, le gouvernement intérimaire somalien a chassé au début de l'année le pouvoir mis en place début 2006 par les milices islamiques.
Mais, depuis, il fait face à une guérilla islamiste de style irakien qui multiplie coups de mains, attentats à la bombe et assassinats.
Des centaines de milliers d'habitants de Mogadiscio ont fui ces violences qui compliquent les opérations d'aide humanitaire, dont un million et demi de Somalien dépendent selon des chiffres de l'Onu.
Ban Ki-moon s'est prononcé pour une accélération du déploiement des 8.000 soldats de l'Union africaine censés prendre le relais des forces éthiopiennes.
Seuls 1.600 soldats ougandais sont pour le moment à pied d'oeuvre. Il doivent recevoir ce mois-ci le renfort d'un contingent rwandais.
Le refus de Ban d'envisager le déploiement de casques bleus a été dénoncé par le puissant clan Hawiye, qui accuse l'Onu et les organisations humanitaires de rester passives devant les "massacres" éthiopiens.
Il a fait valoir que l'insécurité qui y règne avait même empêché l'organisation mondiale d'y dépêcher une équipe d'évaluation technique.
Grâce à l'appui du corps expéditionnaire éthiopien, le gouvernement intérimaire somalien a chassé au début de l'année le pouvoir mis en place début 2006 par les milices islamiques.
Mais, depuis, il fait face à une guérilla islamiste de style irakien qui multiplie coups de mains, attentats à la bombe et assassinats.
Des centaines de milliers d'habitants de Mogadiscio ont fui ces violences qui compliquent les opérations d'aide humanitaire, dont un million et demi de Somalien dépendent selon des chiffres de l'Onu.
Ban Ki-moon s'est prononcé pour une accélération du déploiement des 8.000 soldats de l'Union africaine censés prendre le relais des forces éthiopiennes.
Seuls 1.600 soldats ougandais sont pour le moment à pied d'oeuvre. Il doivent recevoir ce mois-ci le renfort d'un contingent rwandais.
Le refus de Ban d'envisager le déploiement de casques bleus a été dénoncé par le puissant clan Hawiye, qui accuse l'Onu et les organisations humanitaires de rester passives devant les "massacres" éthiopiens.
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