"Cette personne a reconnu avoir fourni à ses co-mis en examen une large part des références bancaires qui ont servi à l'ouverture de 148 lignes téléphoniques", a-t-on déclaré au parquet, confirmant une information du site Mediapart.
L'homme était un employé d'une société à laquelle la chaîne Canal+ sous-traite la gestion de ses abonnements, selon Mediapart. Sept personnes sont mises en examen désormais dans cette procédure, ouverte en octobre.
Ces personnes sont soupçonnées d'avoir souscrit des abonnements à des réseaux de téléphonie mobile en utilisant les coordonnées bancaires du chef de l'Etat. Le préjudice est évalué à quelques centaines d'euros pour le chef de l'Etat.
Les suspects auraient simplement utilisé le numéro de compte personnel de Nicolas Sarkozy pour souscrire ces abonnements, non pas sur internet, mais lors d'une démarche physique chez un commerçant.
L'escroquerie aurait été menée très simplement par les suspects, qui ont aussi fait usage d'une fausse identité et de fausses attestations de domicile dans une sorte de "kit" fourni, avec le relevé d'identité bancaire spolié, par des spécialistes de ce type de manipulations frauduleuses.
Le procureur de Nanterre Philippe Courroye a chargé la brigade criminelle et la brigade financière de l'enquête sur ces faits, découverts après les prélèvements anormaux d'un opérateur téléphonique sur le compte présidentiel.
Source: Yahoo News
L'homme était un employé d'une société à laquelle la chaîne Canal+ sous-traite la gestion de ses abonnements, selon Mediapart. Sept personnes sont mises en examen désormais dans cette procédure, ouverte en octobre.
Ces personnes sont soupçonnées d'avoir souscrit des abonnements à des réseaux de téléphonie mobile en utilisant les coordonnées bancaires du chef de l'Etat. Le préjudice est évalué à quelques centaines d'euros pour le chef de l'Etat.
Les suspects auraient simplement utilisé le numéro de compte personnel de Nicolas Sarkozy pour souscrire ces abonnements, non pas sur internet, mais lors d'une démarche physique chez un commerçant.
L'escroquerie aurait été menée très simplement par les suspects, qui ont aussi fait usage d'une fausse identité et de fausses attestations de domicile dans une sorte de "kit" fourni, avec le relevé d'identité bancaire spolié, par des spécialistes de ce type de manipulations frauduleuses.
Le procureur de Nanterre Philippe Courroye a chargé la brigade criminelle et la brigade financière de l'enquête sur ces faits, découverts après les prélèvements anormaux d'un opérateur téléphonique sur le compte présidentiel.
Source: Yahoo News
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