Ce jugement prononcé vendredi est venu annuler le non-lieu dont avait bénéficié le prévenu en première instance dans cette même affaire, le tribunal jugeant que les chefs d'accusation pour lesquels il comparaissait étaient les mêmes qui lui avaient déjà valu 12 ans de prison auprès du tribunal militaire de Tunis."C'est un verdict étonnant et injuste", a commenté Me Ben Amor qui entend se pourvoir en cassation dans l'espoir de voir la cour "appliquer la loi et lever cette injustice".Considéré comme le chef d'une cellule établie à Milan liée au réseau Al Qaïda, Sami Essid dit Saber, 42 ans, avait été condamné en 2002 à une peine de six ans et demi par la justice italienne pour "appartenance à une association de malfaiteurs, recel, falsification de documents et assistance à l'immigration clandestine".
Source: AP via Yahoo
Source: AP via Yahoo
À lire également :
-
Vers une rupture entre la Cedeao et l'Alliance des États du Sahel
-
Qui est Mohammed al-Joulani, le nouveau homme fort de la Syrie ?
-
Chute de Bachar al-Assad en Syrie : le palais présidentiel envahi et pillé par des civils
-
La RDC poursuit le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples
-
Au Tchad comme au Sénégal, la présence militaire française prend fin