Un Séminaire ''Route de l’Esclave'' au Togo: l’année 2007 marque le bicentenaire de l’abolition de la traite négrière en Angleterre. À cette occasion le Directeur général de l’UNESCO, son Excellence M. Koïchiro MATSUURA, a effectué une visite officielle dans les trois pays côtiers situés sur la portion du golfe de Guinée tristement dénommée la côte des Esclaves : le Ghana (ancienne Gold Coast, notamment sa partie est, correspondant à la Volta Region aujourd’hui), le Togo et le Bénin (ex-Dahomey).
Le territoire du Togo est situé bien au centre de cet espace. Malheureusement, cet espace est très mal connu et peu représenté dans le projet de mémoire « Route de l’esclave » lancé par l’UNESCO en 1994. Pourtant, le Togo fut aussi victime de la traite négrière et continue, encore aujourd’hui, d’être marqué par les conséquences de ce phénomène.
On y retrouve également des traces matérielles et immatérielles, constituant un important patrimoine, qui mérite d’être mieux connu afin d’être intégré dans la mémoire collective, à la fois comme témoins d’une histoire partagée avec le reste du monde, mais aussi comme souvenirs à sauvegarder et à valoriser à travers des circuits de tourisme culturel. La mission de suivi consécutive à la visite du Directeur général de l’UNESCO, mission effectuée par M. MOUKALA, les 24 et 25 mai 2007, en vue d’intégrer l’espace togolais, chaînon manquant, sur la « Route de l’esclave », nous a confortés dans la nécessité de faire le point des travaux déjà effectués sur la question dans le cadre d’un séminaire national.
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Le territoire du Togo est situé bien au centre de cet espace. Malheureusement, cet espace est très mal connu et peu représenté dans le projet de mémoire « Route de l’esclave » lancé par l’UNESCO en 1994. Pourtant, le Togo fut aussi victime de la traite négrière et continue, encore aujourd’hui, d’être marqué par les conséquences de ce phénomène.
On y retrouve également des traces matérielles et immatérielles, constituant un important patrimoine, qui mérite d’être mieux connu afin d’être intégré dans la mémoire collective, à la fois comme témoins d’une histoire partagée avec le reste du monde, mais aussi comme souvenirs à sauvegarder et à valoriser à travers des circuits de tourisme culturel. La mission de suivi consécutive à la visite du Directeur général de l’UNESCO, mission effectuée par M. MOUKALA, les 24 et 25 mai 2007, en vue d’intégrer l’espace togolais, chaînon manquant, sur la « Route de l’esclave », nous a confortés dans la nécessité de faire le point des travaux déjà effectués sur la question dans le cadre d’un séminaire national.
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