Jérôme Lavrilleux officiellement exclu de l'UMP:
Jérôme Lavrilleux, à l'origine des révélations sur un système présumé de fausses factures durant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, s'était mis en congé de l'UMP le 15 octobre, estimant son sort scellé d'avance. Agé de 45 ans, il avait adhéré au RPR en 1989, puis à l'UMP en 2002, année de sa création. L'ancien bras droit de Jean-François Copé a dénoncé "une justice d'exception avec un peloton d'exécution déjà réuni" , des "règlements de comptes par personnes interposées" en visant nommément François Fillon "et sans doute Alain Juppé". Il menaçait durant l'été de reprendre sa liberté de parole dans l'hypothèse de son éviction. Jérôme Lavrilleux a déclaré récemment dans L'Express avoir "du mal à imaginer" que Nicolas Sarkozy ne connaissait pas Bygmalion, la société de communication au coeur du système présumé frauduleux de la campagne de 2012, comme ce dernier l'affirme, mais il exonère l'ancien président. (Reuters)
Bruno Le Maire durcit le ton contre Nicolas Sarkozy:
A près de trois semaines de l'élection à la présidence de l'UMP, Bruno Le Maire, qui ambitionne d'imposer un second tour à Nicolas Sarkozy, a durci le ton contre l'ancien président en l'accusant de vouloir mettre à bas le parti pour en faire "un marchepied pour une ambition présidentielle personnelle". Engagé dans une campagne-marathon depuis le 11 juin, l'ancien ministre de l'Agriculture a appelé les militants à "créer la surprise" le 29 novembre, au premier tour de l'élection interne. De semaines en semaines, les sondages, tout relatifs puisqu'ils portent sur les sympathisants UMP et non les seuls adhérents, montrent une progression des intentions de vote en faveur de Bruno Le Maire. (Reuters)
Nicolas Sarkozy en meeting à Nancy : l'ex-chef de l'Etat fustige la politique de François Hollande:
"Sur la première moitié du mandat de François Hollande, c'est échec sur échec". Pendant près d’une heure et demie Nicolas Sarkozy a multiplié les attaques contre la politique de l’actuel chef de l’Etat, lors de son meeting à Nancy lundi 3 novembre."Il devrait commencer par dire : 'Je me suis trompé'", a estimé le candidat à la présidence UMP à propos de François Hollande devant environ 1 500 militants. (atlantico.fr)
Jérôme Lavrilleux, à l'origine des révélations sur un système présumé de fausses factures durant la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012, s'était mis en congé de l'UMP le 15 octobre, estimant son sort scellé d'avance. Agé de 45 ans, il avait adhéré au RPR en 1989, puis à l'UMP en 2002, année de sa création. L'ancien bras droit de Jean-François Copé a dénoncé "une justice d'exception avec un peloton d'exécution déjà réuni" , des "règlements de comptes par personnes interposées" en visant nommément François Fillon "et sans doute Alain Juppé". Il menaçait durant l'été de reprendre sa liberté de parole dans l'hypothèse de son éviction. Jérôme Lavrilleux a déclaré récemment dans L'Express avoir "du mal à imaginer" que Nicolas Sarkozy ne connaissait pas Bygmalion, la société de communication au coeur du système présumé frauduleux de la campagne de 2012, comme ce dernier l'affirme, mais il exonère l'ancien président. (Reuters)
Bruno Le Maire durcit le ton contre Nicolas Sarkozy:
A près de trois semaines de l'élection à la présidence de l'UMP, Bruno Le Maire, qui ambitionne d'imposer un second tour à Nicolas Sarkozy, a durci le ton contre l'ancien président en l'accusant de vouloir mettre à bas le parti pour en faire "un marchepied pour une ambition présidentielle personnelle". Engagé dans une campagne-marathon depuis le 11 juin, l'ancien ministre de l'Agriculture a appelé les militants à "créer la surprise" le 29 novembre, au premier tour de l'élection interne. De semaines en semaines, les sondages, tout relatifs puisqu'ils portent sur les sympathisants UMP et non les seuls adhérents, montrent une progression des intentions de vote en faveur de Bruno Le Maire. (Reuters)
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"Sur la première moitié du mandat de François Hollande, c'est échec sur échec". Pendant près d’une heure et demie Nicolas Sarkozy a multiplié les attaques contre la politique de l’actuel chef de l’Etat, lors de son meeting à Nancy lundi 3 novembre."Il devrait commencer par dire : 'Je me suis trompé'", a estimé le candidat à la présidence UMP à propos de François Hollande devant environ 1 500 militants. (atlantico.fr)
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