Pendant que la formation entraînée par Thomas Schaaf poursuivait avec succès ses objectifs dans les compétitions par élimination, elle glissait, en effet, à la 10e place du classement de la Bundesliga, abandonnant toute chance de figurer parmi les qualifiés pour l'Europa League qui remplacera la Coupe de l'UEFA la saison prochaine.
"La saison a été bizarre", reconnaît Markus Rosenberg, l'attaquant suédois du Werder. "D'habitude nous jouons pour le titre, mais pas cette année. Par contre, on s'en est très bien comportés dans les coupes". Le buteur suédois n'a inscrit que peu de buts cette saison mais espère retrouver ses sensations mercredi soir au stade Sukru Saracoglu d'Istanbul.
"Pour moi aussi la saison a été bizarre", poursuit-il. "J'ai bien débuté, mais je n'ai pas beaucoup marqué. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Je me suis réservé pour la finale de la Coupe de l'UEFA".
Rosenberg est pressenti pour remplacer Hugo Almeida, suspendu, et appuyer les offensives du Péruvien Claudio Pizarro qui a marqué 28 buts cette année sous les couleurs de Brême et s'est montré souvent décisif dans le parcours du club allemand sur la scène européenne.
Ménagés le week-end dernier, les deux joueurs sont opérationnels mais Schaaf a d'autres soucis avec le forfait de sa tour de défense, l'international allemand Per Mertesacker, et la suspension de son stratège brésilien Diego.
"Nous avons assez de joueurs de classe, quels que soient ceux qui jouent", corrige, cependant, Klaus Allofs, le directeur sportif du Werder.
Manquant de rigueur en défense, le Werder de Brême, qui a encaissé douze buts en huit matches de Coupe de l'UEFA, se tire de ses mauvais pas grâce à son efficacité offensive (15 buts) et sa capacité à rebondir dans un match. "Cela montre qu'on a du caractère et un moral d'acier. Les joueurs ne perdent jamais espoir, même dans les moments difficiles", se félicite Thomas Schaaf.
Cette dernière finale de la Coupe de l'UEFA sera d'autant plus historique pour le Chakhtior Donetsk, première formation ukrainienne à atteindre une finale européenne depuis l'éclatement de l'Union soviétique en 1990.
Symbole du renouveau du football ukrainien, l'équipe entraînée par le Roumain Mircea Lucescu semble offrir plus de garanties défensives que sa rivale et n'a encaissé que cinq buts en huit matches européens. Son jeune portier international Andreï Piatov, 24 ans, estime que l'importance de l'événement ne va pas perturber la sérénité du groupe.
"Je suis calme", avance-t-il. "J'ai joué d'autres matches et d'autres finales. Celle-ci, c'est la finale de la Coupe de l'UEFA. Elle signifie beaucoup pour tout le monde, mais la terre n'arrêtera pas de tourner".
L'autre arme du Chakhtior, tombeur de l'Olympique de Marseille en quart de finale en remportant les deux matches, c'est également la qualité de son attaque à très fort accent brésilien.
Source: Associated News via Yahoo News
"La saison a été bizarre", reconnaît Markus Rosenberg, l'attaquant suédois du Werder. "D'habitude nous jouons pour le titre, mais pas cette année. Par contre, on s'en est très bien comportés dans les coupes". Le buteur suédois n'a inscrit que peu de buts cette saison mais espère retrouver ses sensations mercredi soir au stade Sukru Saracoglu d'Istanbul.
"Pour moi aussi la saison a été bizarre", poursuit-il. "J'ai bien débuté, mais je n'ai pas beaucoup marqué. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Je me suis réservé pour la finale de la Coupe de l'UEFA".
Rosenberg est pressenti pour remplacer Hugo Almeida, suspendu, et appuyer les offensives du Péruvien Claudio Pizarro qui a marqué 28 buts cette année sous les couleurs de Brême et s'est montré souvent décisif dans le parcours du club allemand sur la scène européenne.
Ménagés le week-end dernier, les deux joueurs sont opérationnels mais Schaaf a d'autres soucis avec le forfait de sa tour de défense, l'international allemand Per Mertesacker, et la suspension de son stratège brésilien Diego.
"Nous avons assez de joueurs de classe, quels que soient ceux qui jouent", corrige, cependant, Klaus Allofs, le directeur sportif du Werder.
Manquant de rigueur en défense, le Werder de Brême, qui a encaissé douze buts en huit matches de Coupe de l'UEFA, se tire de ses mauvais pas grâce à son efficacité offensive (15 buts) et sa capacité à rebondir dans un match. "Cela montre qu'on a du caractère et un moral d'acier. Les joueurs ne perdent jamais espoir, même dans les moments difficiles", se félicite Thomas Schaaf.
Cette dernière finale de la Coupe de l'UEFA sera d'autant plus historique pour le Chakhtior Donetsk, première formation ukrainienne à atteindre une finale européenne depuis l'éclatement de l'Union soviétique en 1990.
Symbole du renouveau du football ukrainien, l'équipe entraînée par le Roumain Mircea Lucescu semble offrir plus de garanties défensives que sa rivale et n'a encaissé que cinq buts en huit matches européens. Son jeune portier international Andreï Piatov, 24 ans, estime que l'importance de l'événement ne va pas perturber la sérénité du groupe.
"Je suis calme", avance-t-il. "J'ai joué d'autres matches et d'autres finales. Celle-ci, c'est la finale de la Coupe de l'UEFA. Elle signifie beaucoup pour tout le monde, mais la terre n'arrêtera pas de tourner".
L'autre arme du Chakhtior, tombeur de l'Olympique de Marseille en quart de finale en remportant les deux matches, c'est également la qualité de son attaque à très fort accent brésilien.
Source: Associated News via Yahoo News
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