C’est une initiative pour limiter la portée de la parole du président américain. Donald Trump qui, depuis son élection en 2016 n’a cessé de multiplier les attaques et les critiques envers ses opposants démocrates depuis son principal outil de communication, le réseau social Twitter.
L'application de micro-blogging a décidé de suspendre de façon permanente le compte du président américain sortant, après les événements de Washington de mercredi 6 janvier 2021, lorsque le Parlement américain a été envahi par des militants pro-Trump. Facebook et Snapchat avaient pris cette décision dès jeudi 7 janvier, mais la symbolique est forte pour Donald Trump qui a fait de ses tweets l'alpha et l'oméga de sa communication durant ses quatre années de présidence.
Avec plus de 88 millions d'abonnés, Twitter est la plateforme de prédilection de Donald Trump, celle qui lui sert à faire des annonces politiques, fulminer contre les médias ou insulter ses adversaires au quotidien.
"Nous ne serons pas réduits au silence", a protesté le président américain via le compte officiel POTUS (Président des Etats-Unis), à l'attention des 75 millions de patriotes qui ont voté pour lui.
Il a évoqué notamment des représailles contre le réseau qui « interdit la liberté d'expression » et le possible lancement de sa propre plateforme dans un futur proche, à travers une série de messages immédiatement retirés par Twitter.
Une porte-parole de la société a peu après expliqué que : "Utiliser un autre compte pour éviter la suspension est contre nos règles". Il prévoit aussi de prendre des mesures « pour l'imiter l'utilisation » des comptes gouvernementaux comme @POTUS et @WhiteHouse.
Avant que son compte ne soit fermé, Donald Trump avait enfin reconnu sa défaite dans un message vidéo. Il avait ensuite déclaré qu'il n'assisterait pas, contrairement à la tradition, à la cérémonie d'investiture de son successeur, le démocrate Joe Biden.
Selon Twitter, cette annonce est interprétée par certains de ses supporters comme la preuve de l'illégitimité des résultats électoraux, et fait de l'événement une cible parfaite pour de nouvelles émeutes.
L'application de micro-blogging a décidé de suspendre de façon permanente le compte du président américain sortant, après les événements de Washington de mercredi 6 janvier 2021, lorsque le Parlement américain a été envahi par des militants pro-Trump. Facebook et Snapchat avaient pris cette décision dès jeudi 7 janvier, mais la symbolique est forte pour Donald Trump qui a fait de ses tweets l'alpha et l'oméga de sa communication durant ses quatre années de présidence.
Avec plus de 88 millions d'abonnés, Twitter est la plateforme de prédilection de Donald Trump, celle qui lui sert à faire des annonces politiques, fulminer contre les médias ou insulter ses adversaires au quotidien.
"Nous ne serons pas réduits au silence", a protesté le président américain via le compte officiel POTUS (Président des Etats-Unis), à l'attention des 75 millions de patriotes qui ont voté pour lui.
Il a évoqué notamment des représailles contre le réseau qui « interdit la liberté d'expression » et le possible lancement de sa propre plateforme dans un futur proche, à travers une série de messages immédiatement retirés par Twitter.
Une porte-parole de la société a peu après expliqué que : "Utiliser un autre compte pour éviter la suspension est contre nos règles". Il prévoit aussi de prendre des mesures « pour l'imiter l'utilisation » des comptes gouvernementaux comme @POTUS et @WhiteHouse.
Avant que son compte ne soit fermé, Donald Trump avait enfin reconnu sa défaite dans un message vidéo. Il avait ensuite déclaré qu'il n'assisterait pas, contrairement à la tradition, à la cérémonie d'investiture de son successeur, le démocrate Joe Biden.
Selon Twitter, cette annonce est interprétée par certains de ses supporters comme la preuve de l'illégitimité des résultats électoraux, et fait de l'événement une cible parfaite pour de nouvelles émeutes.
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