Cette marche "contre l'extrémisme religieux qui présente un danger et une menace pour la vie des personnes", est organisée à la suite d'incidents antisémites. La semaine dernière, la communauté juive de Tunisie avait, en effet, exprimé son inquiétude après des incidents antisémites devant la grande synagogue de Tunis devant laquelle des manifestants avaient scandé des slogans antisémites.
D'autres événements sont survenus vendredi de nature à justifier l'initiative de ce collectif de jeunes.
Des islamistes ont manifesté à Tunis pour réclamer la fermeture des maisons closes qu'ils considèrent "immorales et contraires aux préceptes de l'islam", selon l'un d'eux. Des dizaines de manifestants ont défilé sur l'avenue Bourguiba, principale artère de la capitale, en scandant "non aux lieux de prostitution dans un pays musulman", tandis qu'une pancarte proclamait que "la fermeture des maisons de prostitution est une nécessité" les assimilant à des "lieux d'asservissement abject de la femme".
Le prêtre, âgé de 34 ans, a été retrouvé mort égorgé dans une école privée de la région de Manouba. C'est "un groupe de terroristes fascistes ayant des orientations extrémistes qui est derrière ce crime, compte tenu de la façon dont il a été assassiné", a indiqué le ministère de l'intérieur dans un communiqué sans préciser s'il visait là des islamistes.
Sources: lemonde.fr, facebook.com/event.php?eid=199013293457591
D'autres événements sont survenus vendredi de nature à justifier l'initiative de ce collectif de jeunes.
Des islamistes ont manifesté à Tunis pour réclamer la fermeture des maisons closes qu'ils considèrent "immorales et contraires aux préceptes de l'islam", selon l'un d'eux. Des dizaines de manifestants ont défilé sur l'avenue Bourguiba, principale artère de la capitale, en scandant "non aux lieux de prostitution dans un pays musulman", tandis qu'une pancarte proclamait que "la fermeture des maisons de prostitution est une nécessité" les assimilant à des "lieux d'asservissement abject de la femme".
Le prêtre, âgé de 34 ans, a été retrouvé mort égorgé dans une école privée de la région de Manouba. C'est "un groupe de terroristes fascistes ayant des orientations extrémistes qui est derrière ce crime, compte tenu de la façon dont il a été assassiné", a indiqué le ministère de l'intérieur dans un communiqué sans préciser s'il visait là des islamistes.
Sources: lemonde.fr, facebook.com/event.php?eid=199013293457591
À lire également :
-
Vers une rupture entre la Cedeao et l'Alliance des États du Sahel
-
Qui est Mohammed al-Joulani, le nouveau homme fort de la Syrie ?
-
Chute de Bachar al-Assad en Syrie : le palais présidentiel envahi et pillé par des civils
-
La RDC poursuit le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples
-
Au Tchad comme au Sénégal, la présence militaire française prend fin