Pour mémoire, Tapie avait fait fortune dans les années 1990 et avait tout perdu en 1994. Après être passé par la case prison, il a finalement obtenu que son dossier soit révisé en 2008. Son adversaire étant une banque filiale d'un groupe public au moment des faits, la facture est lourde pour la France et l’indemnisation de 403 millions rapidement contestée.
Certains avancent que l'entrée fracassante en politique d'un homme d'affaires n'a pas plu à tout le monde. De fait, le Crédit Lyonnais aurait mis un terme aux accords qu'il avait avec Bernard Tapie au motif que celui-ci n'avait pas déposé en temps et en heure un expertise des ses biens. Il aurait remis le document deux jours plus tard, mais trop tard. En somme, Bernard Tapie aurait commis une boulette à quoi il devrait sa ruine. Dur, dur! S'il n'était pas aussi expressif sur les photos, qui sait, peut-être aurait-il moins de problèmes?
Aujourd'hui, dans le cadre d'une décision rendue par la Cour d'appel de Paris, les époux sont condamnés à rembourser 404 millions d'euros. Mais ils n'ont pas dit leur dernier mot : ils peuvent encore se pourvoir en cassation. D'autre part, une autre instruction judiciaire est cours, visant Bernard Tapie et l'arbitre Pierre Estoup dans laquelle les deux hommes sont mis en examen pour escroquerie en bande organisée.
Certains avancent que l'entrée fracassante en politique d'un homme d'affaires n'a pas plu à tout le monde. De fait, le Crédit Lyonnais aurait mis un terme aux accords qu'il avait avec Bernard Tapie au motif que celui-ci n'avait pas déposé en temps et en heure un expertise des ses biens. Il aurait remis le document deux jours plus tard, mais trop tard. En somme, Bernard Tapie aurait commis une boulette à quoi il devrait sa ruine. Dur, dur! S'il n'était pas aussi expressif sur les photos, qui sait, peut-être aurait-il moins de problèmes?
Aujourd'hui, dans le cadre d'une décision rendue par la Cour d'appel de Paris, les époux sont condamnés à rembourser 404 millions d'euros. Mais ils n'ont pas dit leur dernier mot : ils peuvent encore se pourvoir en cassation. D'autre part, une autre instruction judiciaire est cours, visant Bernard Tapie et l'arbitre Pierre Estoup dans laquelle les deux hommes sont mis en examen pour escroquerie en bande organisée.