Les insurgés syriens ont admis jeudi avoir dû céder du terrain aux forces gouvernementales dans le quartier stratégique de Salaheddine, à Alep, théâtre de violents combats de rue depuis la veille. A Téhéran, le gouvernement iranien a organisé une conférence internationale destinée officiellement à trouver une issue négociée au conflit mais plus probablement à former un front de soutien au régime de Damas. Cette réunion a rassemblé les représentants de plus de 25 pays qui partagent l'approche iranienne - aucun n'a apporté son soutien aux insurgés et aucun n'a demandé le départ du président syrien Bachar al Assad. A l'ouverture de la conférence, retransmise à la télévision iranienne, le ministre des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a rejeté toute intervention militaire étrangère en Syrie et réclamé des discussions "sérieuses et approfondies" entre le gouvernement de Damas et l'opposition. "Le dialogue entre Syriens est le seul moyen de résoudre la crise", a-t-il dit. Cette semaine, Salehi avait affirmé que la chute brutale du président Assad serait catastrophique et signifierait "l'éclatement" de la Syrie.(fr.reuetrs.com) La chute du président Assad ne signifierait pas forcément l'éclatement de la Syrie, mais au moins une énorme fracture entre chiites et sunnites. Parler et toujours mieux que cogner, mais cogner a aussi c'est avantages.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
À lire également :
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès