Le sommet a mis en exergue la divergence d'intérêts entre les pays dits riches et ceux dits émergents pour lesquels qui craignaient que les engagements destinés à limiter le réchauffement climatique ne plombent leur croissance.
La conférence de l'Onu sur le climat (20e conférence des parties ou COP20, qui aurait dû s'achever vendredi, a été prolongée de plus de 30 heures en raison d'un clivage entre pays du Nord et du Sud. Aboutir à un accord sur le format des engagements, ou contributions nationales, que les pays prendront courant 2015 pour réduire leurs émissions était l'un des objectifs du rendez-vous de Lima. Le texte final adopté à Lima a apaisé les pays émergents, dont la Chine et l'Inde, qui craignaient que les esquisses précédentes n'imposent à leurs économies un fardeau trop lourd, par comparaison avec les pays riches, en matière d'efforts pour freiner le réchauffement mondial. (latribune.fr)
Il ressort de ce sommet que les pays fixeront eux-mêmes les efforts qu'ils sont prêts à consentir ainsi que leurs modalités d'action. On parle d'accord a minima, ce qui est juste au regard des conséquences à attendre de la non-limitation des gaz à effet de serre. Et les pays membres de l'ONU, qui se sont déjà réunis à plusieurs reprises sur cette question ne sont pas encore parvenus à mettre en œuvre un programme fiable. Toutefois, on put espérer que les pays se dirigent vers des décisions communes, préfigurant ainsi l'attribution de compétences d'intérêt général humain à une autorité internationale.
La conférence de l'Onu sur le climat (20e conférence des parties ou COP20, qui aurait dû s'achever vendredi, a été prolongée de plus de 30 heures en raison d'un clivage entre pays du Nord et du Sud. Aboutir à un accord sur le format des engagements, ou contributions nationales, que les pays prendront courant 2015 pour réduire leurs émissions était l'un des objectifs du rendez-vous de Lima. Le texte final adopté à Lima a apaisé les pays émergents, dont la Chine et l'Inde, qui craignaient que les esquisses précédentes n'imposent à leurs économies un fardeau trop lourd, par comparaison avec les pays riches, en matière d'efforts pour freiner le réchauffement mondial. (latribune.fr)
Il ressort de ce sommet que les pays fixeront eux-mêmes les efforts qu'ils sont prêts à consentir ainsi que leurs modalités d'action. On parle d'accord a minima, ce qui est juste au regard des conséquences à attendre de la non-limitation des gaz à effet de serre. Et les pays membres de l'ONU, qui se sont déjà réunis à plusieurs reprises sur cette question ne sont pas encore parvenus à mettre en œuvre un programme fiable. Toutefois, on put espérer que les pays se dirigent vers des décisions communes, préfigurant ainsi l'attribution de compétences d'intérêt général humain à une autorité internationale.
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