Sur le colonialisme
Vendredi, à la veille de l'ouverture du sommet, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a averti que ce nouveau partenariat nécessitait que l'Europe s'acquitte de sa dette envers les pays qu'elle a colonisés.
"Les forces coloniales doivent dédommager les peuples qu'elles ont colonisés et dont elles ont spolié les richesses", a-t-il affirmé devant un parterre de 400 professeurs et étudiants, réunis à l'Université de Lisbonne.
afp.google.com/
Sur le Darfour
Les 40 députés à l'origine de cet appel ont été rejoints par 50 associations de droits de l'homme européennes et africaines. Dans une autre lettre, ces dernières affirment que l'inaction à propos de cette région soudanaise équivaudrait à "tourner le dos aux habitants du Darfour".
Les militants des droits de l'homme ont également critiqué l'UE pour avoir autorisé la venue du président zimbabwéen Robert Mugabe.
Ce dernier, accusé en Occident de fraude électorale et de répression, est considéré par plusieurs chefs d'Etat africains comme un héros de l'indépendance.
Plusieurs d'entre eux ont prévenu qu'ils ne participeraient pas à la réunion si Mugabe n'était pas invité.
www.lexpress.fr/
Vendredi, à la veille de l'ouverture du sommet, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a averti que ce nouveau partenariat nécessitait que l'Europe s'acquitte de sa dette envers les pays qu'elle a colonisés.
"Les forces coloniales doivent dédommager les peuples qu'elles ont colonisés et dont elles ont spolié les richesses", a-t-il affirmé devant un parterre de 400 professeurs et étudiants, réunis à l'Université de Lisbonne.
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Sur le Darfour
Les 40 députés à l'origine de cet appel ont été rejoints par 50 associations de droits de l'homme européennes et africaines. Dans une autre lettre, ces dernières affirment que l'inaction à propos de cette région soudanaise équivaudrait à "tourner le dos aux habitants du Darfour".
Les militants des droits de l'homme ont également critiqué l'UE pour avoir autorisé la venue du président zimbabwéen Robert Mugabe.
Ce dernier, accusé en Occident de fraude électorale et de répression, est considéré par plusieurs chefs d'Etat africains comme un héros de l'indépendance.
Plusieurs d'entre eux ont prévenu qu'ils ne participeraient pas à la réunion si Mugabe n'était pas invité.
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