On ne sait pas vraiment si tout le contingent éthiopien qui était intervenu il y a deux ans, va se retirer.
En novembre le premier ministre, Meles Zenawi, avait déclaré que les troupes éthiopiennes rentreraient à la fin de l'année. D'après des responsables militaires somaliens, elles n'attendent plus que l'ordre de partir.
L'armée éthiopienne avait été envoyée il y a deux ans pour chasser la faction des Tribunaux islamistes qui contrôlait Mogadiscio et pour soutenir le gouvernement de transition.
Récemment elle a subi des pertes importantes face à une recrudescence des activités des insurgés.
Le sud et le centre du pays sont en grande partie aujourd'hui sous la coupe de divers groupes nationalistes et islamistes.
Et le gouvernement de transition ne contrôle maintenant qu'une partie de Mogadiscio et Baïdoa, le siège du parlement.
Mais le chef d'une importante faction, Sheik Muktar Robow a déclaré qu'il ne satisferait pas du départ des Ethiopiens. Il a juré de continuer la lutte jusqu'à ce qu'un régime islamiste soit en place dans le pays.
Selon une organisation locale de défense des droits de l'Homme, Elman Human Rights, plus de 15 000 personnes ont été tuées au cours des deux dernières années.
Plusieurs centaines de milliers d'habitants sont maintenant déplacés.
Abdullahi Yusuf, qui avait fait appel à l'aide de l'Ethiopie, il y a deux ans, a démissionné lundi de la présidence.
Une nouvelle élection par les parlementaires est prévue dans quatre mois.
Source: Yahoo News
En novembre le premier ministre, Meles Zenawi, avait déclaré que les troupes éthiopiennes rentreraient à la fin de l'année. D'après des responsables militaires somaliens, elles n'attendent plus que l'ordre de partir.
L'armée éthiopienne avait été envoyée il y a deux ans pour chasser la faction des Tribunaux islamistes qui contrôlait Mogadiscio et pour soutenir le gouvernement de transition.
Récemment elle a subi des pertes importantes face à une recrudescence des activités des insurgés.
Le sud et le centre du pays sont en grande partie aujourd'hui sous la coupe de divers groupes nationalistes et islamistes.
Et le gouvernement de transition ne contrôle maintenant qu'une partie de Mogadiscio et Baïdoa, le siège du parlement.
Mais le chef d'une importante faction, Sheik Muktar Robow a déclaré qu'il ne satisferait pas du départ des Ethiopiens. Il a juré de continuer la lutte jusqu'à ce qu'un régime islamiste soit en place dans le pays.
Selon une organisation locale de défense des droits de l'Homme, Elman Human Rights, plus de 15 000 personnes ont été tuées au cours des deux dernières années.
Plusieurs centaines de milliers d'habitants sont maintenant déplacés.
Abdullahi Yusuf, qui avait fait appel à l'aide de l'Ethiopie, il y a deux ans, a démissionné lundi de la présidence.
Une nouvelle élection par les parlementaires est prévue dans quatre mois.
Source: Yahoo News