Abdi Ahmed, l'un des témoins, a précisé que les tirs s'étaient produit au-dessus de Barawe. Les militaires étrangers, qui étaient blancs de peau, ont également fait prisonniers deux individus blessés, a-t-il ajouté.
"Il y avait une voiture en feu et deux corps gisaient à côté", a encore déclaré ce témoin.
On ne connaît pas pour l'heure les auteurs et le motif de cette attaque. Barawe, ville située à 250km de Mogadiscio, est aux mains du mouvement islamiste Al-Shabab qui contrôle une partie du pays et que les Etats-Unis accusent d'entretenir des liens avec Al-Qaïda.
Le gouvernement somalien, qui ne dispose que de peu de ressources, n'a ni hélicoptère ni équipement militaire sophistiqué à sa disposition. Selon autre témoin, Dahir Ahmed, les appareils qui ont mené l'attaque provenaient d'un navire de guerre sur lequel flottait le drapeau français.
Cette information a été immédiatement démentie à Paris. "Il n'y a pas d'action militaire française sur le sol somalien", a assuré le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées françaises.
Selon lui, "ce ne sont pas des hélicoptères français" qui ont mené cette attaque. Les militaires français présents dans la région "participent à l'opération européenne Atalante au large de la Somalie" et ne conduisent pas d'opérations sur le sol somalien, l'exception étant la libération des otages du voilier Le Ponant en 2008.
Les Etats-Unis, qui sont hantés par la débâcle de l'opération menée en 1993 sur Mogadiscio, s'emploie a réduire la menace terroriste en Somalie sans envoyer de troupes amaricaines sur place. L'administration Obama préfère augmenter son aide au gouvernement somalien.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"Il y avait une voiture en feu et deux corps gisaient à côté", a encore déclaré ce témoin.
On ne connaît pas pour l'heure les auteurs et le motif de cette attaque. Barawe, ville située à 250km de Mogadiscio, est aux mains du mouvement islamiste Al-Shabab qui contrôle une partie du pays et que les Etats-Unis accusent d'entretenir des liens avec Al-Qaïda.
Le gouvernement somalien, qui ne dispose que de peu de ressources, n'a ni hélicoptère ni équipement militaire sophistiqué à sa disposition. Selon autre témoin, Dahir Ahmed, les appareils qui ont mené l'attaque provenaient d'un navire de guerre sur lequel flottait le drapeau français.
Cette information a été immédiatement démentie à Paris. "Il n'y a pas d'action militaire française sur le sol somalien", a assuré le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées françaises.
Selon lui, "ce ne sont pas des hélicoptères français" qui ont mené cette attaque. Les militaires français présents dans la région "participent à l'opération européenne Atalante au large de la Somalie" et ne conduisent pas d'opérations sur le sol somalien, l'exception étant la libération des otages du voilier Le Ponant en 2008.
Les Etats-Unis, qui sont hantés par la débâcle de l'opération menée en 1993 sur Mogadiscio, s'emploie a réduire la menace terroriste en Somalie sans envoyer de troupes amaricaines sur place. L'administration Obama préfère augmenter son aide au gouvernement somalien.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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