«J’étais surpris et frustré par cette affaire car c’est la deuxième fois. La première fois si vous vous rappelez, c’était le témoignage qu’Idrissa Seck a fait sur Wade. Et il a été écrit que «c’est Mame Thierno Birahim Mbacké, frère de Modou Kara qui détenait le document». Or j’étais à Paris donc je n’étais même pas au courant de ce qui se passait. Je l’ai su à travers mes disciples qui m’ont interpellé sur cette affaire» a rappelé Mame T. B. Mbacké avant de poursuivre.
«Par la suite, j’ai pris le soin d’appeler les journalistes de Walf pour leur demander de m’interpeller sur toute information qui touche à la famille de Modou Kara en leur donnant un contact où ils pouvaient me joindre à tout moment» a-t-il précisé. M. Mbacké. Birahim Niang a, selon M. Mbacké longtemps utilisé son nom jusqu’en Italie pour soutirer des billets à ses talibés. Une utilisation illégale de son nom qu’il lui a pourtant interdit « Il le fait jusqu’en Italie avec mes talibés. Il peut peut être le faire avec les talibés pour glaner quelques euros. Mais je le lui ai interdit depuis la première fois qu’il la utilisé dans la presse» a tenu à clarifier M. Mbacké.
À l’annonce de cette nouvelle à la revue de presse, Mame T. B. Mbacké a du faire quelques démarches avant d’en arriver au saccage. «Quand j’ai entendu ces propos «Mame Thierno Birahim Mbacké frère de Modou Kara» à la revue de presse, j’ai pris mon téléphone et appelé à Walf pour apporter une clarification aux téléspectateurs et auditeurs sur cette information. Mais je suis tombé sur quelqu’un qui m’a dit qu’il était seul et qu’il ne pouvait pas se déplacer en me demandant de patienter. Ensuite, j’ai rappelé plus tard et c’était le même son de cloche. Des gens avaient déjà envahi ma demeure et d’autres étaient déjà à Walf. J’ai pris ma voiture avec mes deux frères jusqu’à Walf pour demander à mes disciples de rentrer sans bruit et c’est ce qu’ils ont fait» a détaillé M. Mbacké.
Mame Thierno Birahim Mbacké a aussi nié avoir demandé à Sidy Lamine Niasse de se présenter chez lui. «C’est Sidy lui-même qui voulait venir chez moi et par la suite il a désisté. Mais je n’ai jamais demandé à mes disciples de le faire venir. Si tel avait été le cas, il allait venir. Je n’ai jamais connu la demeure et ni l’entreprise de Sidy» a martelé M. Mbacké. Face à ce vandalisme, Mame Thierno Birahim Mbacké lave, comme un juge ses talibés qui ont saccagés les locaux du groupe Walfadjiri. «Les talibés ne sont coupables de rien car ils n’ont fait que exprimer leur colère» a conclu M. Mbacké. Très dépassé par l’événement, le président du groupe Walfadjiri Sidy Lamine Niasse avait imputé la responsabilité à Wade.
Cette accusation dérange M. Mbacké qui semble sortir Wade du lot des responsables. «Mais tout ce qui m’a fait mal dans tout ça, c’est que Sidy a laissé tous les responsables (Sidy, ses employés et nous) dans cette affaire pour s’attaquer à Wade» s’est-il indigné. Et Mame T. B. Mbacké de se permettre de donner des leçons de morale à Sidy en déclarant que «le devoir de Sidy était tout simplement de prendre le micro et de s’excuser auprès de la famille de Modou Kara». Il est tout de même paradoxal que Modou Kara demande pardon et que son disciple réclame encore que Sidy soit à la place de son maître. L’enquête diligentée ne semble pas encore avoir donné des fruits dans cette affaire. «La police n’est pas encore venu à ma demeure et si elle le fait je vais l’aider à accomplir sa mission. Je suis prêt à répondre à toute interpellation» a déclaré M. Mbacké.
Face à une situation qui risque de dégénérer si les autorités religieuses et politiques n’élèvent pas leurs voix, Mame T. B. Mbacké demande aux sénégalais de savoir raison garder. «Je demande à tous les sénégalais de faire preuve de lucidité et de ne pas faire de cette affaire une affaire de «Tarikha» car le Sénégal nous appartient à nous tous et les relations entre Cheikh Ahmadou Bamba et Baye Niasse sont tellement étroites que personne ne peut altérer cette amitié» a exhorté M. Mbacké avant de demander pardon au groupe Walfadjiri.
Source: Rewmi
«Par la suite, j’ai pris le soin d’appeler les journalistes de Walf pour leur demander de m’interpeller sur toute information qui touche à la famille de Modou Kara en leur donnant un contact où ils pouvaient me joindre à tout moment» a-t-il précisé. M. Mbacké. Birahim Niang a, selon M. Mbacké longtemps utilisé son nom jusqu’en Italie pour soutirer des billets à ses talibés. Une utilisation illégale de son nom qu’il lui a pourtant interdit « Il le fait jusqu’en Italie avec mes talibés. Il peut peut être le faire avec les talibés pour glaner quelques euros. Mais je le lui ai interdit depuis la première fois qu’il la utilisé dans la presse» a tenu à clarifier M. Mbacké.
À l’annonce de cette nouvelle à la revue de presse, Mame T. B. Mbacké a du faire quelques démarches avant d’en arriver au saccage. «Quand j’ai entendu ces propos «Mame Thierno Birahim Mbacké frère de Modou Kara» à la revue de presse, j’ai pris mon téléphone et appelé à Walf pour apporter une clarification aux téléspectateurs et auditeurs sur cette information. Mais je suis tombé sur quelqu’un qui m’a dit qu’il était seul et qu’il ne pouvait pas se déplacer en me demandant de patienter. Ensuite, j’ai rappelé plus tard et c’était le même son de cloche. Des gens avaient déjà envahi ma demeure et d’autres étaient déjà à Walf. J’ai pris ma voiture avec mes deux frères jusqu’à Walf pour demander à mes disciples de rentrer sans bruit et c’est ce qu’ils ont fait» a détaillé M. Mbacké.
Mame Thierno Birahim Mbacké a aussi nié avoir demandé à Sidy Lamine Niasse de se présenter chez lui. «C’est Sidy lui-même qui voulait venir chez moi et par la suite il a désisté. Mais je n’ai jamais demandé à mes disciples de le faire venir. Si tel avait été le cas, il allait venir. Je n’ai jamais connu la demeure et ni l’entreprise de Sidy» a martelé M. Mbacké. Face à ce vandalisme, Mame Thierno Birahim Mbacké lave, comme un juge ses talibés qui ont saccagés les locaux du groupe Walfadjiri. «Les talibés ne sont coupables de rien car ils n’ont fait que exprimer leur colère» a conclu M. Mbacké. Très dépassé par l’événement, le président du groupe Walfadjiri Sidy Lamine Niasse avait imputé la responsabilité à Wade.
Cette accusation dérange M. Mbacké qui semble sortir Wade du lot des responsables. «Mais tout ce qui m’a fait mal dans tout ça, c’est que Sidy a laissé tous les responsables (Sidy, ses employés et nous) dans cette affaire pour s’attaquer à Wade» s’est-il indigné. Et Mame T. B. Mbacké de se permettre de donner des leçons de morale à Sidy en déclarant que «le devoir de Sidy était tout simplement de prendre le micro et de s’excuser auprès de la famille de Modou Kara». Il est tout de même paradoxal que Modou Kara demande pardon et que son disciple réclame encore que Sidy soit à la place de son maître. L’enquête diligentée ne semble pas encore avoir donné des fruits dans cette affaire. «La police n’est pas encore venu à ma demeure et si elle le fait je vais l’aider à accomplir sa mission. Je suis prêt à répondre à toute interpellation» a déclaré M. Mbacké.
Face à une situation qui risque de dégénérer si les autorités religieuses et politiques n’élèvent pas leurs voix, Mame T. B. Mbacké demande aux sénégalais de savoir raison garder. «Je demande à tous les sénégalais de faire preuve de lucidité et de ne pas faire de cette affaire une affaire de «Tarikha» car le Sénégal nous appartient à nous tous et les relations entre Cheikh Ahmadou Bamba et Baye Niasse sont tellement étroites que personne ne peut altérer cette amitié» a exhorté M. Mbacké avant de demander pardon au groupe Walfadjiri.
Source: Rewmi