«Ceux qui provoquent[la Corée du Nord] ne pourront échapper à sa punition inimaginable et sans merci.» Par ces mots, l'agence officielle de la république démocratique populaire de Corée a, hier, menacé du pire son frère ennemi du Sud, la république de Corée.
Pyongyang a ponctué ses menaces par un tir de missile à courte portée, le cinquième depuis lundi, et annoncé qu'elle ne s'estimait plus liée par l'armistice qui a mis fin à la guerre de Corée (1950-1953).
Ces ruades belliqueuses viennent apparemment en réponse à la décision de Séoul, intervenue la veille, de rejoindre l'initiative de sécurité antiprolifération (PSI), qui permet depuis 2003 aux 90 pays adhérents d'arraisonner tout navire suspecté de transporter des armes de destruction massive.
«Guerre». Le régime stalinien du Nord, qui a monnayé par le passé son savoir-faire en matière de missiles et de nucléaire militaire auprès du Pakistan, de l'Iran et sans doute de la Syrie, a interprété l'adhésion de la Corée du Sud au PSI comme «une déclaration de guerre».
Séoul, qui avait jusque-là le statut de simple observateur au sein du PSI, s'était abstenu de sauter le pas pour éviter de provoquer Pyongyang. Mais lundi, la dictature communiste a procédé à un essai atomique réussi, le second depuis celui de 2006. Il a ainsi prouvé qu'il possédait bel et bien une arme nucléaire en état de marche.
C'est le 5 avril que Pyongyang a mis en branle sa nouvelle stratégie de confrontation, en procédant au lancement d'une fusée à longue portée, montrant ainsi qu'il détient des missiles intercontinentaux pouvant éventuellement frapper le Japon et les... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Pyongyang a ponctué ses menaces par un tir de missile à courte portée, le cinquième depuis lundi, et annoncé qu'elle ne s'estimait plus liée par l'armistice qui a mis fin à la guerre de Corée (1950-1953).
Ces ruades belliqueuses viennent apparemment en réponse à la décision de Séoul, intervenue la veille, de rejoindre l'initiative de sécurité antiprolifération (PSI), qui permet depuis 2003 aux 90 pays adhérents d'arraisonner tout navire suspecté de transporter des armes de destruction massive.
«Guerre». Le régime stalinien du Nord, qui a monnayé par le passé son savoir-faire en matière de missiles et de nucléaire militaire auprès du Pakistan, de l'Iran et sans doute de la Syrie, a interprété l'adhésion de la Corée du Sud au PSI comme «une déclaration de guerre».
Séoul, qui avait jusque-là le statut de simple observateur au sein du PSI, s'était abstenu de sauter le pas pour éviter de provoquer Pyongyang. Mais lundi, la dictature communiste a procédé à un essai atomique réussi, le second depuis celui de 2006. Il a ainsi prouvé qu'il possédait bel et bien une arme nucléaire en état de marche.
C'est le 5 avril que Pyongyang a mis en branle sa nouvelle stratégie de confrontation, en procédant au lancement d'une fusée à longue portée, montrant ainsi qu'il détient des missiles intercontinentaux pouvant éventuellement frapper le Japon et les... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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