Être en free lance c’est travailler à son compte et pour soit même. Un peu comme un cow boy en plus solitaire encore. Car les gens qui se disent en free lance. Sont victimes d’un phénomène (auquel je n’est pas encore collé d’étiquette) qui se rapproche de l’éthique. De la même façon, la société sénégalaise est bien particulière. Car même dans une entreprise. Chacun ne collaborera pas avec son coéquipier ou n’importe qui d’autre d’ailleurs. Ainsi 1+1 ne font pas 2, et 2+2 ne font pas moins 4. Mais voilà qu’une entité localement nommée « diom » intervient. Cela s’apparente à la fierté ou à l’honneur. Mais plus encore à l’égaux. Ce fameux « diom » est un savent mélange des trois dont les doses varies selon les individus. Les Hommes qui composes la société sénégalaise en possèdent chacun un. Ce qui rend extrêmement difficiles les relations de travails. C4es surement la cause des terribles inondations qui sévissent tout les ans à la même période…. Inondations dont les facteurs pourtant connus ne sont jamais traités. Car chacun a un potentiel de négation que lui-même ne soupçonne pas. Ce qui l’empêche de travailler avec son prochain. Et si chaque individu est en free lance. L’Etat qui est le reflet de la société. Ne peut être qu’en free lance et donc seul. N’aidant personne et ne se faisant aider par personne. Il ne peut pas se développer. J’appel cela, le sous-développement.