alactu.com/spip.php?article5923
Mercredi, Ségolène Royal a déclaré que le SMIC à 1.500 euros brut et la généralisation des 35 heures étaient des idées qui ne sont pas crédibles qu’elle avait cependant dû reprendre dans son pacte présidentiel.
François Hollande a répondu aux propos de Ségolène Royal sur le Smic à 1.500 euros et sur les 35 heures. Il a estimé qu’il aurait fallu de la cohérence" entre le projet du PS et celui de son candidat à la présidentielle : "Il faut de la cohérence entre le projet du PS et le projet du candidat, ça n’a pas été le cas. On ne va pas refaire ce qui n’a pas été fait".
lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-927497@51-910156,0.html
Elle a également souhaité que le PS ait"le courage de remettre en cause certains dogmes et slogans", justifiant ses critiques sur le smic à 1 500 euros brut par mois et sur les 35 heures. "A l'avenir, pour que nos propositions soient crédibles, il faudra dire comment on les finance", a-t-elle encore souligné.
marianne2007.info/Les-critiques-de-Segolene-Royal-
tres-mal-recues-par-la-gauche-du-PS_a1600.html
Un flot de paroles amères coule aussi du côté de Jean-Luc Mélenchon, qui a dénoncé sur RTL « la très grande duplicité de Ségolène Royal ». « Est-ce que ça signifie que si elle avait été élue, après les avoir promises, elle ne les aurait pas appliquées ? », interroge le sénateur socialiste. Avant de conclure : « Nous sommes dans le domaine de la pure et simple provocation, consternante de sa part. » Seul le très fabiusien Claude Bartolone exprime un ressenti plus modéré : « Je pense qu'elle commet une erreur, confie-t-il. Je ne suis pas sûr que prendre comme raison de son échec une des rares propositions économiques et sociales de sa campagne nous rende service. Si c'est ce que pense la vraie Ségolène Royal, cela mérite un débat. »
http://www.edicom.ch/fr/news/international/1188_3956934.html
Ségolène Royal a vivement critiqué l'AFP, dans une interview dimanche à Canal Plus, pour avoir annoncé le 17 juin au soir sa séparation avec François Hollande et son intention de briguer la présidence du Parti socialiste.
"Ce n'est pas aux médias de choisir la date et la forme d'une annonce de ce type", a déclaré Mme Royal qui a mis en cause l'impartialité de l'AFP et l'accuse de lui avoir "attribué de façon mensongère une déclaration, en plus le soir des élections législatives".
"L'AFP devait publier l'information le lundi à 6H00. En raison de fuites dans la presse écrite et sur internet, elle a décidé d’avancer de quelques heures la diffusion de l'information", a déclaré le directeur de l'Information de l'AFP, Denis Hiault.
Mercredi, Ségolène Royal a déclaré que le SMIC à 1.500 euros brut et la généralisation des 35 heures étaient des idées qui ne sont pas crédibles qu’elle avait cependant dû reprendre dans son pacte présidentiel.
François Hollande a répondu aux propos de Ségolène Royal sur le Smic à 1.500 euros et sur les 35 heures. Il a estimé qu’il aurait fallu de la cohérence" entre le projet du PS et celui de son candidat à la présidentielle : "Il faut de la cohérence entre le projet du PS et le projet du candidat, ça n’a pas été le cas. On ne va pas refaire ce qui n’a pas été fait".
lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-927497@51-910156,0.html
Elle a également souhaité que le PS ait"le courage de remettre en cause certains dogmes et slogans", justifiant ses critiques sur le smic à 1 500 euros brut par mois et sur les 35 heures. "A l'avenir, pour que nos propositions soient crédibles, il faudra dire comment on les finance", a-t-elle encore souligné.
marianne2007.info/Les-critiques-de-Segolene-Royal-
tres-mal-recues-par-la-gauche-du-PS_a1600.html
Un flot de paroles amères coule aussi du côté de Jean-Luc Mélenchon, qui a dénoncé sur RTL « la très grande duplicité de Ségolène Royal ». « Est-ce que ça signifie que si elle avait été élue, après les avoir promises, elle ne les aurait pas appliquées ? », interroge le sénateur socialiste. Avant de conclure : « Nous sommes dans le domaine de la pure et simple provocation, consternante de sa part. » Seul le très fabiusien Claude Bartolone exprime un ressenti plus modéré : « Je pense qu'elle commet une erreur, confie-t-il. Je ne suis pas sûr que prendre comme raison de son échec une des rares propositions économiques et sociales de sa campagne nous rende service. Si c'est ce que pense la vraie Ségolène Royal, cela mérite un débat. »
http://www.edicom.ch/fr/news/international/1188_3956934.html
Ségolène Royal a vivement critiqué l'AFP, dans une interview dimanche à Canal Plus, pour avoir annoncé le 17 juin au soir sa séparation avec François Hollande et son intention de briguer la présidence du Parti socialiste.
"Ce n'est pas aux médias de choisir la date et la forme d'une annonce de ce type", a déclaré Mme Royal qui a mis en cause l'impartialité de l'AFP et l'accuse de lui avoir "attribué de façon mensongère une déclaration, en plus le soir des élections législatives".
"L'AFP devait publier l'information le lundi à 6H00. En raison de fuites dans la presse écrite et sur internet, elle a décidé d’avancer de quelques heures la diffusion de l'information", a déclaré le directeur de l'Information de l'AFP, Denis Hiault.
À lire également :
-
Nouveau tremblement de terre sur la Côte d’Azur : état des lieux
-
Comment recevoir les aides de fin d'année ? Prime de Noël, 13e mois, chèque énergie...
-
Cyclone : mobilisation pour secourir Mayotte ravagée
-
Nicolas Pernot choisi pour diriger le cabinet de François Bayrou à Matignon
-
Réunion des partis à l’Élysée : Emmanuel Macron exclut LFI et le RN