Notre revue de presse France du 17 Août 2011
Sommet Sarkozy-Merkel: Concert de critiques à gauche
Favori des sondages pour la primaire socialiste, François Hollande a ainsi jugé sur France 3 que Nicolas Sarkozy avait fait, mardi, un "grand pas en arrière" en renonçant à l'instauration des euro-obligations, cet instrument de mutualisation de la dette. L'élu corrézien a même dénoncé une "faute" du président français qui a "vraiment renoncé devant Angela Merkel à ce projet (...) qui tenait à coeur à tous ceux qui veulent lutter efficacement contre la spéculation", a-t-il jugé. Mais le socialiste a tout de même admis que Nicolas Sarkozy avait fait "un petit pas, celui pour la gouvernance économique de la zone euro", faisant allusion à la proposition de créer un "gouvernement de la zone euro". Le candidat à la primaire PS en a profité pour annoncer qu'il accélérerait la mise en place d'une taxation sur les transactions financières s'il était élu président de la République en mai 2012. (www.lepoint.fr) S'il est élu!
Rencontre Sarkozy-Merkel: "Le Président s'est couché"
La rencontre franco-allemande a-t-elle convaincu? Au lendemain de l'annonce des propositions faites par le président français et la chancelière allemande à l'issue d'un sommet bilatéral, politiques, marchés et éditorialistes dénoncent un accord "a minima". A gauche, on tire à boulets rouges sur les mesures présentées par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Dans un communiqué, le PS a dénoncé un "sommet d'impuissance". Martine Aubry, candidate à la primaire socialiste, a jugé "très décevant" le résultat de la rencontre franco-allemande pour faire face à la crise de la zone euro, regrettant notamment l'absence d'annonces concrètes sur la croissance et l'emploi. "Je n'entends toujours pas régulation du système financier, je n'entends toujours pas croissance et emploi", a-t-elle ajouté. (www.lexpress.fr)
Quelques réactions
Harlem Désir, Premier secrétaire par intérim du Parti socialiste et Michel Sapin, secrétaire national du PS à l'économie: "Nicolas Sarkozy et Angela Merkel forment désormais le 'couple de la croissance zéro' pour la France et l'Allemagne" et "le soi-disant pacte de compétitivité Sarkozy-Merkel n'est en réalité qu'un pacte d'austérité", jugent-ils dans un communiqué. "Le président français et la chancelière allemande n'ont fait que des annonces vagues concernant la taxe sur les transactions financières et le gouvernement économique européen, sans aucune mesure précise pour en faire des réalités". Cette rencontre, qui "marque un nouveau sommet d'impuissance" face à la crise historique de la zone euro, est "en fait un recul pour la France et un revers pour Nicolas Sarkozy. Le plus inquiétant c'est que le président de la République en est désormais réduit à aligner la France sur les conservateurs allemands, qui refusent toute véritable solidarité européenne". (www.associatedpress.com) Sarkozy n'ose pas s'avancer, il sait que s'il fait un seul faux pas il ne sera pas réélu.
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
Favori des sondages pour la primaire socialiste, François Hollande a ainsi jugé sur France 3 que Nicolas Sarkozy avait fait, mardi, un "grand pas en arrière" en renonçant à l'instauration des euro-obligations, cet instrument de mutualisation de la dette. L'élu corrézien a même dénoncé une "faute" du président français qui a "vraiment renoncé devant Angela Merkel à ce projet (...) qui tenait à coeur à tous ceux qui veulent lutter efficacement contre la spéculation", a-t-il jugé. Mais le socialiste a tout de même admis que Nicolas Sarkozy avait fait "un petit pas, celui pour la gouvernance économique de la zone euro", faisant allusion à la proposition de créer un "gouvernement de la zone euro". Le candidat à la primaire PS en a profité pour annoncer qu'il accélérerait la mise en place d'une taxation sur les transactions financières s'il était élu président de la République en mai 2012. (www.lepoint.fr) S'il est élu!
Rencontre Sarkozy-Merkel: "Le Président s'est couché"
La rencontre franco-allemande a-t-elle convaincu? Au lendemain de l'annonce des propositions faites par le président français et la chancelière allemande à l'issue d'un sommet bilatéral, politiques, marchés et éditorialistes dénoncent un accord "a minima". A gauche, on tire à boulets rouges sur les mesures présentées par Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Dans un communiqué, le PS a dénoncé un "sommet d'impuissance". Martine Aubry, candidate à la primaire socialiste, a jugé "très décevant" le résultat de la rencontre franco-allemande pour faire face à la crise de la zone euro, regrettant notamment l'absence d'annonces concrètes sur la croissance et l'emploi. "Je n'entends toujours pas régulation du système financier, je n'entends toujours pas croissance et emploi", a-t-elle ajouté. (www.lexpress.fr)
Quelques réactions
Harlem Désir, Premier secrétaire par intérim du Parti socialiste et Michel Sapin, secrétaire national du PS à l'économie: "Nicolas Sarkozy et Angela Merkel forment désormais le 'couple de la croissance zéro' pour la France et l'Allemagne" et "le soi-disant pacte de compétitivité Sarkozy-Merkel n'est en réalité qu'un pacte d'austérité", jugent-ils dans un communiqué. "Le président français et la chancelière allemande n'ont fait que des annonces vagues concernant la taxe sur les transactions financières et le gouvernement économique européen, sans aucune mesure précise pour en faire des réalités". Cette rencontre, qui "marque un nouveau sommet d'impuissance" face à la crise historique de la zone euro, est "en fait un recul pour la France et un revers pour Nicolas Sarkozy. Le plus inquiétant c'est que le président de la République en est désormais réduit à aligner la France sur les conservateurs allemands, qui refusent toute véritable solidarité européenne". (www.associatedpress.com) Sarkozy n'ose pas s'avancer, il sait que s'il fait un seul faux pas il ne sera pas réélu.
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
À lire également :
-
Nouveau tremblement de terre sur la Côte d’Azur : état des lieux
-
Comment recevoir les aides de fin d'année ? Prime de Noël, 13e mois, chèque énergie...
-
Cyclone : mobilisation pour secourir Mayotte ravagée
-
Nicolas Pernot choisi pour diriger le cabinet de François Bayrou à Matignon
-
Réunion des partis à l’Élysée : Emmanuel Macron exclut LFI et le RN