On avait bien assimilé le slogan «les antibiotiques, c'est pas automatique» et la consommation d'antibiotiques en France, avait baissé d'au moins 10% jusqu'en 2010. Mais depuis 3 ans, les prescriptions ont de nouveau augmenté pour revenir au niveau de 2003. Les pouvoirs publics s'inquiètent de la résistance aux antibiotiques que peuvent développer certaines personnes : en cas d'infection grave, il ne sera plus possible, en l'état actuel de la recherche médicale, de les guérir. Ce serait déjà le cas de 25.000 personnes chaque année.
Certains médecins déclarent que pour ne pas prescrire de médicament à un patient, il faut y passer du temps et lui fournir beaucoup d'explications. Certains patients, quant à eux, indiquent qu'ils ne peuvent pas rester chez eux ni même être souffrants sans mettre leur situation professionnelle en danger. Le désaccord entre médecins et patients porte sur des maladies bénignes comme la grippe ou la rhino-pharyngite. Il porte également sur le fait que que certaines personnalités ne semblent jamais souffrantes et font l'effet de bénéficier de soins qui ne sont pas à la portée de tous. Pour se soigner sans antibiotiques, il faut donc pouvoir se le permettre: la santé demeure un luxe.
La recherche médicale, et notamment l'Inserm (Insititut national de la santé et de la recherche médicale), se penche sur la compréhension de l’émergence et des mécanismes biologiques de la résistance aux anti-infectieux et sur l'interprétation du microbiome humain (l’ensemble des gènes des espèces bactériennes vivant en symbiose avec l’homme dans son tube digestif, sur la peau ou dans les orifices naturels).
Certains médecins déclarent que pour ne pas prescrire de médicament à un patient, il faut y passer du temps et lui fournir beaucoup d'explications. Certains patients, quant à eux, indiquent qu'ils ne peuvent pas rester chez eux ni même être souffrants sans mettre leur situation professionnelle en danger. Le désaccord entre médecins et patients porte sur des maladies bénignes comme la grippe ou la rhino-pharyngite. Il porte également sur le fait que que certaines personnalités ne semblent jamais souffrantes et font l'effet de bénéficier de soins qui ne sont pas à la portée de tous. Pour se soigner sans antibiotiques, il faut donc pouvoir se le permettre: la santé demeure un luxe.
La recherche médicale, et notamment l'Inserm (Insititut national de la santé et de la recherche médicale), se penche sur la compréhension de l’émergence et des mécanismes biologiques de la résistance aux anti-infectieux et sur l'interprétation du microbiome humain (l’ensemble des gènes des espèces bactériennes vivant en symbiose avec l’homme dans son tube digestif, sur la peau ou dans les orifices naturels).
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