Certains « pétitionnaires » qui ont pris la parole lors de cette séance ont exprimé leur soutien à une formule d'autonomie du territoire au sein du Maroc, proposée par le Royaume chérifien. Cette solution a été adoptée à une large majorité de Sahraouis à l'occasion des élections qui se sont déroulées en septembre dernier au Maroc, a noté le représentant du Conseil royal consultatif des affaires sahariennes du Maroc.
D'autres intervenants, partisans des positions marocaines, ont souligné le caractère « particulièrement généreux et consensuel » de l'offre d'autonomie faite par le gouvernement de Rabat, dénonçant par ailleurs les conditions de vie pénibles des réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf, en Algérie, où ils seraient retenus contre leur volonté.
En revanche, d'autres « pétitionnaires » favorables aux positions du POLISARO, ont déploré le silence « assourdissant » des médias et des politiques concernant la situation au Sahara occidental, dernier territoire d'Afrique, à leur avis, à vivre sous le joug colonial.
Exigeant que le principe de l'autodétermination du territoire et du respect des droits de l'homme de ses habitants soit pleinement appliqué, les sympathisants du POLISARIO ont par ailleurs invité les Nations Unies, et plus particulièrement la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) à s'engager davantage dans la recherche juste et acceptable d'une solution qui garantirait le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.
Une membre de la Commission émigration du bloc nationaliste galicien a estimé pour sa part que la question du Sahara occidental était une question juridique de décolonisation, ce qui rend la position du Maroc ambigüe « car il se présente en victime alors qu'il est devenu bourreau ».
La situation au Sahara occidental a fait l'objet de nombreux débats et de l'adoption de plus de 70 résolutions aux Nations Unies, et l'établissement de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), chargée de l'organisation d'un référendum, est toujours déployée dans le territoire.
Toutefois, les positions contrastées des principaux protagonistes n'ont pas permis d'aboutir à un compromis sur la question.
Au terme de deux jours de discussions entre le Maroc et le Front POLISARIO sur le Sahara occidental, l'Envoyé personnel du Secrétaire général pour la question, Peter van Walsum, avait indiqué que les parties avaient reconnu que le statu quo actuel est inacceptable et s'étaient engagées à poursuivre ces négociations de bonne foi.
D'autres intervenants, partisans des positions marocaines, ont souligné le caractère « particulièrement généreux et consensuel » de l'offre d'autonomie faite par le gouvernement de Rabat, dénonçant par ailleurs les conditions de vie pénibles des réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf, en Algérie, où ils seraient retenus contre leur volonté.
En revanche, d'autres « pétitionnaires » favorables aux positions du POLISARO, ont déploré le silence « assourdissant » des médias et des politiques concernant la situation au Sahara occidental, dernier territoire d'Afrique, à leur avis, à vivre sous le joug colonial.
Exigeant que le principe de l'autodétermination du territoire et du respect des droits de l'homme de ses habitants soit pleinement appliqué, les sympathisants du POLISARIO ont par ailleurs invité les Nations Unies, et plus particulièrement la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) à s'engager davantage dans la recherche juste et acceptable d'une solution qui garantirait le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.
Une membre de la Commission émigration du bloc nationaliste galicien a estimé pour sa part que la question du Sahara occidental était une question juridique de décolonisation, ce qui rend la position du Maroc ambigüe « car il se présente en victime alors qu'il est devenu bourreau ».
La situation au Sahara occidental a fait l'objet de nombreux débats et de l'adoption de plus de 70 résolutions aux Nations Unies, et l'établissement de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), chargée de l'organisation d'un référendum, est toujours déployée dans le territoire.
Toutefois, les positions contrastées des principaux protagonistes n'ont pas permis d'aboutir à un compromis sur la question.
Au terme de deux jours de discussions entre le Maroc et le Front POLISARIO sur le Sahara occidental, l'Envoyé personnel du Secrétaire général pour la question, Peter van Walsum, avait indiqué que les parties avaient reconnu que le statu quo actuel est inacceptable et s'étaient engagées à poursuivre ces négociations de bonne foi.
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