Le nouveau président, 42 ans, a juré, la main droite sur la Constitution, de "défendre les libertés" en Russie et de "servir fidèlement le peuple", en présence de Vladimir Poutine et de quelque 2.400 invités.
Dmitri Medvedev a ensuite déclaré qu'il aurait comme priorité la poursuite du "développement des libertés civiques et économiques", tout en disant compter sur "le soutien" de son prédécesseur, qui doit devenir dès jeudi son Premier ministre.
Le Premier ministre en exercice Viktor Zoubkov a d'ailleurs immédiatement présenté la démission de son gouvernement.
La candidature de l'ex-président Vladimir Poutine au poste de Premier ministre doit être approuvée dès jeudi par le Parlement. Nombre de ministres devraient être reconduits aux mêmes postes, selon des informations de la presse russe.
Conformément à la Constitution, peu après l'investiture du nouveau président, le Premier ministre et son gouvernement doivent présenter leur démission.
"Je ferai tout pour que la sécurité de nos citoyens soit non seulement garantie par la loi, mais assurée réellement par l'Etat", a dit le nouveau chef de l'Etat.
"Ces dernières années, nous avons créé une base solide pour le développement continu (du pays), pour des décennies du développement libre et stable (...) Nous devons surmonter le nihilisme juridique qui freine le développement moderne", a-t-il ajouté.
Vladimir Poutine, qui a pris la parole juste avant lui, a quant à lui estimé que la Russie avait réalisé "une percée" pendant ses huit ans de présidence (2000-2008) et souhaité "bonne chance" à celui qu'il a lui-même choisi pour lui succéder.
"Le devoir de prendre soin de la Russie a été et reste mon devoir suprême. Je l'ai accompli toutes ces années et je l'accomplirai toujours", a déclaré le président sortant, qui restera au pouvoir comme chef du gouvernement.
"Il y a eu des erreurs (...) mais nous avons réussi à réaliser une percée. Désormais nous nous fixons des objectifs non pour deux ou trois mois à venir, mais pour 20-30 ans. Et ces objectifs sont à notre portée", a-t-il insisté.
Suivant un cérémonial parfaitement réglé, le nouveau président de Russie Dmitri Medvedev est arrivé jusqu'avant 12h00 (08h00 GMT) au Kremlin, sa limousine encadrée d'une escorte de neuf motos, après avoir emprunté plusieurs grandes artères de la capitale.
A 12h00 sonnantes, il entrait dans le Grand Palais du Kremlin, avant de remonter solennellement le grand escalier d'honneur, avec le même faste que pour Vladimir Poutine en 2000, dont les images, dignes d'un sacre, avaient alors fait le tour du monde.
Une double porte dorée s'est alors ouverte sur le nouveau président qui a poursuivi son chemin sur un interminable tapis rouge jusqu'à la salle André où l'attendaient Vladimir Poutine et les chefs du pouvoir législatif et le président de la Cour constitutionnelle.
Source: yahoo news
Dmitri Medvedev a ensuite déclaré qu'il aurait comme priorité la poursuite du "développement des libertés civiques et économiques", tout en disant compter sur "le soutien" de son prédécesseur, qui doit devenir dès jeudi son Premier ministre.
Le Premier ministre en exercice Viktor Zoubkov a d'ailleurs immédiatement présenté la démission de son gouvernement.
La candidature de l'ex-président Vladimir Poutine au poste de Premier ministre doit être approuvée dès jeudi par le Parlement. Nombre de ministres devraient être reconduits aux mêmes postes, selon des informations de la presse russe.
Conformément à la Constitution, peu après l'investiture du nouveau président, le Premier ministre et son gouvernement doivent présenter leur démission.
"Je ferai tout pour que la sécurité de nos citoyens soit non seulement garantie par la loi, mais assurée réellement par l'Etat", a dit le nouveau chef de l'Etat.
"Ces dernières années, nous avons créé une base solide pour le développement continu (du pays), pour des décennies du développement libre et stable (...) Nous devons surmonter le nihilisme juridique qui freine le développement moderne", a-t-il ajouté.
Vladimir Poutine, qui a pris la parole juste avant lui, a quant à lui estimé que la Russie avait réalisé "une percée" pendant ses huit ans de présidence (2000-2008) et souhaité "bonne chance" à celui qu'il a lui-même choisi pour lui succéder.
"Le devoir de prendre soin de la Russie a été et reste mon devoir suprême. Je l'ai accompli toutes ces années et je l'accomplirai toujours", a déclaré le président sortant, qui restera au pouvoir comme chef du gouvernement.
"Il y a eu des erreurs (...) mais nous avons réussi à réaliser une percée. Désormais nous nous fixons des objectifs non pour deux ou trois mois à venir, mais pour 20-30 ans. Et ces objectifs sont à notre portée", a-t-il insisté.
Suivant un cérémonial parfaitement réglé, le nouveau président de Russie Dmitri Medvedev est arrivé jusqu'avant 12h00 (08h00 GMT) au Kremlin, sa limousine encadrée d'une escorte de neuf motos, après avoir emprunté plusieurs grandes artères de la capitale.
A 12h00 sonnantes, il entrait dans le Grand Palais du Kremlin, avant de remonter solennellement le grand escalier d'honneur, avec le même faste que pour Vladimir Poutine en 2000, dont les images, dignes d'un sacre, avaient alors fait le tour du monde.
Une double porte dorée s'est alors ouverte sur le nouveau président qui a poursuivi son chemin sur un interminable tapis rouge jusqu'à la salle André où l'attendaient Vladimir Poutine et les chefs du pouvoir législatif et le président de la Cour constitutionnelle.
Source: yahoo news
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