Des secousses ressenties sans dommages majeurs
Les réactions des résidents de la Côte d’Azur ont afflué peu après les secousses. Des habitants d’Antibes, Nice, Menton, et Cagnes-sur-Mer ont partagé leurs expériences sur des plateformes en ligne, évoquant des vibrations courtes mais évidentes. À titre d’exemple, un témoin à Antibes a décrit un appartement secoué pendant deux secondes, tandis qu’à Menton, d’autres parlaient d’un "gros boum" accompagné de légers mouvements de sol.
Malgré ces ressentis, aucun dommage matériel ou blessure n’a été signalé par les services de secours locaux, comme le SDIS des Alpes-Maritimes.
Le Bureau central sismologique français (BCSF) appelle à la contribution des habitants pour enrichir ses données. Les témoignages recueillis permettent d’élaborer une carte d’intensités sismiques basée sur les ressentis locaux. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une "enquête macrosismique" déclenchée dès qu’un séisme atteint une magnitude de 3,5.
En plus des déclarations individuelles, des questionnaires sont envoyés à des institutions comme les gendarmeries, les casernes de pompiers, et les municipalités. Les objectifs principaux sont d’améliorer la compréhension des variations locales des secousses, d’évaluer les séismes historiques et de définir les effets pour préparer des procédures de gestion des risques naturels.
Malgré ces ressentis, aucun dommage matériel ou blessure n’a été signalé par les services de secours locaux, comme le SDIS des Alpes-Maritimes.
Le Bureau central sismologique français (BCSF) appelle à la contribution des habitants pour enrichir ses données. Les témoignages recueillis permettent d’élaborer une carte d’intensités sismiques basée sur les ressentis locaux. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une "enquête macrosismique" déclenchée dès qu’un séisme atteint une magnitude de 3,5.
En plus des déclarations individuelles, des questionnaires sont envoyés à des institutions comme les gendarmeries, les casernes de pompiers, et les municipalités. Les objectifs principaux sont d’améliorer la compréhension des variations locales des secousses, d’évaluer les séismes historiques et de définir les effets pour préparer des procédures de gestion des risques naturels.
Ce nouvel épisode intervient une semaine après un autre séisme de magnitude 4,2 enregistré le 9 décembre dans la vallée de l’Ubaye, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Les secousses avaient alors été perçues jusqu’à Nice, bien que l’épicentre était situé à une centaine de kilomètres du littoral.
Selon les chercheurs du laboratoire Géo Azur à Sophia Antipolis, la zone sismique entre Monaco et la Ligurie est bien connue pour son activité régulière. En 1887, un tremblement de terre majeur, de magnitude 6,5, avait provoqué de lourds dommages et causé la mort de 600 personnes sur la côte ligure. Bien que les événements récents soient de moindre ampleur, ils rappellent que la région reste exposée à des risques sismiques significatifs.
Selon les chercheurs du laboratoire Géo Azur à Sophia Antipolis, la zone sismique entre Monaco et la Ligurie est bien connue pour son activité régulière. En 1887, un tremblement de terre majeur, de magnitude 6,5, avait provoqué de lourds dommages et causé la mort de 600 personnes sur la côte ligure. Bien que les événements récents soient de moindre ampleur, ils rappellent que la région reste exposée à des risques sismiques significatifs.
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