Serge July, PDG de Libération a déclaré, mardi 13 juin, être prêt à quitter le journal "si ce départ peut favoriser son refinancement" par l'actionnaire Edouard de Rothschild, qui a exigé le départ du patron du quotidien.
"Edouard de Rothschild a demandé à Louis Dreyfus [directeur général du quotidien] et moi-même de quitter le journal", a déclaré Serge July. "Si ce départ peut favoriser le refinancement du journal" par l'actionnaire principal, "je n'y ferai pas obstacle", a-t-il poursuivi. Serge July a précisé qu'il a tenu ses propos, mardi, en comité de rédaction en répondant aux questions de "l'équipe". "Je n'ai pas annoncé mon départ", a-t-il souligné. Mais selon une source au journal, il n'y a pas de doute sur le fait que M. July parte.
L'un des participants à cette réunion, le délégué SNJ, François Wenz-Dumas, avait indiqué plus tôt que, lors de cette réunion, M. July avait annoncé son départ "contraint et forcé" du journal. Selon François Wenz-Dumas, cette annonce a été faite vers 10 heures, dans un silence absolu. Le PDG de Libération s'est borné à indiquer qu'il ne réclamait que l'application de la convention collective des journalistes pour valider son départ.
"LE PERSONNEL EST TRÈS INQUIET"
Selon François Wenz-Dumas, "le personnel est très inquiet" de cette annonce qui peut avoir "de graves conséquences" pour le journal.
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"Edouard de Rothschild a demandé à Louis Dreyfus [directeur général du quotidien] et moi-même de quitter le journal", a déclaré Serge July. "Si ce départ peut favoriser le refinancement du journal" par l'actionnaire principal, "je n'y ferai pas obstacle", a-t-il poursuivi. Serge July a précisé qu'il a tenu ses propos, mardi, en comité de rédaction en répondant aux questions de "l'équipe". "Je n'ai pas annoncé mon départ", a-t-il souligné. Mais selon une source au journal, il n'y a pas de doute sur le fait que M. July parte.
L'un des participants à cette réunion, le délégué SNJ, François Wenz-Dumas, avait indiqué plus tôt que, lors de cette réunion, M. July avait annoncé son départ "contraint et forcé" du journal. Selon François Wenz-Dumas, cette annonce a été faite vers 10 heures, dans un silence absolu. Le PDG de Libération s'est borné à indiquer qu'il ne réclamait que l'application de la convention collective des journalistes pour valider son départ.
"LE PERSONNEL EST TRÈS INQUIET"
Selon François Wenz-Dumas, "le personnel est très inquiet" de cette annonce qui peut avoir "de graves conséquences" pour le journal.
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